• Les pièges autorisés sont classés en 5 catégories : 1, 2, 3, 4 et 5

    Les pièges interdits

    Pièges de premiére catégorie

    Législation : Pièges ayant pour objet de capturer l'animal par contention dans un espace clos, sans le maintenir directement par une partie de son corps.
    Pièges ne nécessitant pas d'homologation.
    Peuvent être fabriqués par le piégeur.
    Pièges ne nécessitant pas l'agrément de piégeur si utilisés uniquement pour les captures de ragondins et de rats musqués. Agrément obligatoire dans tous les autres cas.
    Déclaration en mairie obligatoire avant utilisation.
    Visite obligatoire avant midi.
    Relevés journaliers et annuels obligatoires si utilisés par piégeur agréé, non obligatoires autrement.

    cages à fauves

    Plusieurs sortes de pièges entrent dans cette catégorie :

    • les belettières (en bois ou en matières synthétiques) destinées aux belettes.
    • les cages à fauves (ou boîtes à fauve) ci-dessus. Plusieurs dimensions, notamment : 50x25x25 cm (mustélidés, rat musqué), 102x30x30 cm (mustélidés, renard, ragondin). Sont utilisées soit en coulée, soit avec appât végétal ou carné. Certaines, plus grandes, ont un compartiment destiné à un appelant vivant (volaille). Les boîtes à fauves sont à une entrée ou à double entrée, avec des portes verticales ou horizontales. En cas de piégeage du ragondin dans les zones à vison d'Europe, il est conseiller de pratiquer un trou de 5 cm de diamètre dans la cage pour qu'il puisse s'échapper.
    • les poulaillers à renard avec compartiment à appât (volailles)
    • les cages à renardeaux à installer dans l'ouverture du terrier
    • les cages à pies (ou à pigeons) avec un compartiment appelant central et en général quatre autres compartiments destinés à la capture
    • les cages à geais ("pousse au cul"…). Prévoir une petite ouverture permettant au passereaux capturés accidentellement de s'échapper.
    • les cages à corvidés (ou corbeautières) destinées à la captures des corneilles noires ou des corbeaux freux avec un appelant de l'espèce recherchée. Grande dimension : minimum 3x3x3 m
    • les bidons à ragondin destinés à capturer les ragondins vivants (plusieurs prises dans la même nuit). Utilisation d'un appât végétal (maïs, pommes…)
    • les pièges à oiseaux : pièges filets pour pigeons, étourneaux, pies.
    • les boites tombantes ou mues avec appât pour mustélidés, renard, corvidés.
    Pièges de deuxième catégorie :

    Législation : Les pièges déclenchés par pression sur une palette ou par enlèvement d'un appât, ou tout autre système de détente, et ayant pour objet de tuer l'animal.
    Pièges soumis à l'homologation.
    Agrément obligatoire.
    Déclaration en mairie obligatoire avant utilisation.
    Visite obligatoire avant midi.

    • Interdit en coulée
    • Interdit à moins de 200 m des habitations des tiers
    • Interdit à moins de 50 m des voies ouvertes au public (routes, autoroutes, chemins, voies SNCF, allées).
    Pièges en X

    Plusieurs sortes de pièges entrent dans cette catégorie :

    • les pièges à œuf utilisables uniquement avec un œuf naturel ou artificiel. Diamètre minimum : 25 cm. Tendus uniquement de nuit (détendus dans les 2 heures suivant le lever du soleil) sauf si placés en jardinet ou dans une enceinte avec œuf invisible de l'extérieur). Destinés principalement à la capture des fouines.
    • les pièges à appât utilisables au bois uniquement avec un appât carné ou à plus de 200 m des cours d'eau, étangs et marais dans une enceinte avec une ou des ouvertures de 15 cm de largeur maximum. Diamètre minimum : 33 cm.
    • la cage tuante (C910) utilisable dans les marais, en bordure d'étang et des cours d'eau avec uniquement un appât végétal pour ragondin ou rat musqué, ailleurs avec appât carné et une porte (ouverture : 11 cm par 11 cm) pour mustélidés.
    • le livre de messe : 2 modèles
      • à appât : utilisable dans les marais, en bordure des étangs et des cours d'eau avec appât végétal, ailleurs uniquement en gueule de terrier ou dans des bottes de paille ou de foin.
      • à palette : utilisable dans les marais, en bordure des étangs et des cours d'eau pour le piégeage des rats musqués, ailleurs uniquement en gueule de terrier ou dans des bottes de paille ou de foin ;
    • le piège en X ou "Conibear" ci dessus. Dimensions : de 13x13 cm à 25x25 cm. Les pièges en X peuvent être utilisés :
      • Dans les marais et jusqu’à 200 m des cours d’eau, des étangs ou des marais uniquement avec appât végétal (si appât utilisé).
      • A plus de 200 m des cours d’eau, des étangs ou des marais :
        • en gueule de terrier et dans les bottes de paille et de foin.
        • au bois, dans une enceinte ménageant une ou des ouvertures d’une largeur inférieure ou égale à 15 cm.
        • les pièges de dimensions inférieures ou égales à 18cm x 18 cm peuvent être utilisés dans une boîte ménageant une ou des ouvertures inférieures ou égales à 11 cm x 11 cm.
    • Une variante du piège en X est homologuée : il s'agit d'un piège en X où la fourchette servant de déclencheur est remplacée par une palette (déclencheur trottoir). Ce piège est intéressant, notamment utilisé dans une boite ou en jardinet. Il existe du 13 x 13 au 18 x 18.

    Pièges de troisième catégorie :

    Législation : Les collets munis d'un arrêtoir.
    Piège capturant l'animal par le cou
    Piège soumis à l'homologation.
    Agrément obligatoire.
    Déclaration en mairie obligatoire avant utilisation.
    Visite obligatoire dans les deux heures suivant le lever du soleil.

    Collests à arrêtoir

    Utilisé en coulée. Prédateur visé : uniquement le renard.

    L'arrêtoir doit être fixe.
    Le collet après mise en place doit présenter une ouverture maximale de 20 cm de diamètre.
    La partie basse de l’engin doit être disposée à 18 cm au moins et 22 cm au plus au-dessus du niveau du sol, sauf en gueule de terrier à renard et lors d’opérations de piégeage du renard à l’intérieur des bâtiments, cours et jardins, installations d’élevage et, d’une façon générale, dans les enclos attenant à l’habitation visés à l’article L. 424-3 du code de l’environnement.
    Emerillon obligatoire.

    Pièges de quatrième catégorie :

    Législation : Les pièges à lacet déclenchés par pression sur une palette, ou tout autre système de détente, et ayant pour objet de capturer l'animal par une partie de son corps, sans le tuer.
    Pièges soumis à l'homologation.
    Agrément obligatoire.
    Déclaration en mairie obligatoire avant utilisation.
    Visite obligatoire dans les deux heures suivant le lever du soleil.

    Pièges Goldwin à lacet

    Emerillon obligatoire.
    Prédateur visé : essentiellement le renard.
    Plusieurs modèles :

    • le piège Belisle ci contre en bas à gauche
    • le piège Billard ci contre en haut
    • le piège Albert
    • le piège Gibis
    • le piège Goldwin ci contre en bas à droite
    • le piège Bossé

    Pièges de cinquième catégorie :

    Législation : Les pièges n'appartenant pas aux catégories précédentes et ayant pour effet d'entraîner la mort de l'animal par noyade.
    Pièges soumis à homologation.
    Agrément obligatoire.
    Déclaration en mairie obligatoire avant utilisation.
    Visite obligatoire avant midi.

    Bidon

    Deux modèles existent à ce jour :

    • le bidon à double fond
      • pour rats musqués exclusivement.
      • réalisés sous le contrôle de la DDAF du Calvados
    • le fût cylindrique muni d'une cage immergée :
      • réalisé dans le département de la Mayenne
      • hauteur 89 cm – diamètre 69 cm
      • dimension de la cage : longueur 70 cm - largeur 33 cm - hauteur 24 cm - doit être recouverte par au moins 10 cm d'eau
      • la mention "S.I.V.M. Gorron" est inscrite sur la partie supérieure du fût à 10 cm du haut, suivie d'un n° d'ordre inscrit sur un registre tenu par la Communauté des communes.

      in "http://www.unapaf.com"  Union Nationale des Associations de Piègeurs agréés de France


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  • Sous-section 1 : Classement des animaux nuisibles 

    Le ministre chargé de la chasse fixe par arrêté, après avis du Conseil national de la chasse et de la faune sauvage, les listes des espèces d'animaux classés nuisibles.

    I.-La liste mentionnant les périodes et les modalités de destruction des espèces d'animaux classés nuisibles sur l'ensemble du territoire métropolitain est arrêtée chaque année pour une période courant du 1er juillet au 30 juin.

    II.-Pour chaque département, une liste complémentaire mentionnant les périodes et les territoires concernés ainsi que les modalités de destruction des espèces d'animaux classés nuisibles est arrêtée, sur proposition du préfet et après avis de la commission départementale de la chasse et de la faune sauvage réunie en sa formation spécialisée visée au II de l'article R. 421-31, pour une période de trois ans, courant du 1er juillet de la première année au 30 juin de la troisième année.

    III.-Le ministre arrête en outre la liste des espèces d'animaux susceptibles d'être classés nuisibles par arrêté annuel du préfet. L'arrêté du préfet prend effet le 1er juillet de chaque année jusqu'au 30 juin de l'année suivante.

    IV.-Le ministre inscrit les espèces d'animaux sur chacune de ces trois listes pour l'un au moins des motifs suivants :

    1° Dans l'intérêt de la santé et de la sécurité publiques ;

    2° Pour assurer la protection de la flore et de la faune ;

    3° Pour prévenir des dommages importants aux activités agricoles, forestières et aquacoles ;

    4° Pour prévenir les dommages importants à d'autres formes de propriété.

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  • Le SIVOM (Syndicat Intercommunal à Vocations Multiples Combrit Sainte-Marine l’Ile-Tudy) a la responsabilité de l’assainissement collectif, de la Maison de retraite de Kerborc’his propriété du syndicat et des équipements communs de tourisme, la surveillance des plages notamment. Du fait de la suppression du Syndicat mixte le SIVOM en a repris les responsabilités. Il a donc maintenant sous sa responsabilité :

    - la gestion et l’entretien des équipements tel que la ferme du Creac’h, Roscanvel, la base nautique du Treustel, les WC des dunes et les postes de secours.la gestion des espaces naturels de la zone littorale de Combrit-Ile Tudy, comprenant notamment les propriétés du Conservatoire du Littorale et des rivages lacustres et du SIVOM.

    - La gestion des espaces naturels recouvre en particulier les actions de sauvegarde des sites naturels, le bon entretien des ouvrages hydrauliques, la réalisation et l’entretien des ouvrages concourant à la protection des milieux naturels, l’organisation et la surveillance des fréquentations, les usages et utilisations du sol compatibles avec la conservation des espaces. 

    - le SIVOM peut procéder ou faire procéder à toutes les actions nécessaires à l’accomplissement des missions de gestion, études, travaux, information du public, création de postes, conclusion de conventions, ainsi qu’au financement de ces actions

    - l’entretien du cordon dunaire et de la digue de Kermor. La construction et l’entretien d’une levée de terre en arrière de la dune

    Créé en 1977, il a dans un premier temps géré les ordures ménagères, dossier qui dépend aujourd’hui de la Communauté de Communes du Pays Bigouden Sud.

    Le financement est assuré à hauteur de 72% par la commune et de 28% par L’Ile-Tudy.

    Représentants de la commune : Jean-Claude DUPRE, Michèle LE GALL, Bernard STRUILLOU, Jean Louis LASCHKAR, Nicolas LE BERRE.

    Suppléant : Gwenaël PENNARUN

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  •  

     Le SIVOM

    Le SIVOM (Syndicat Intercommunal à Vocations Multiples Combrit Sainte-Marine l’Ile-Tudy) a la responsabilité de l’assainissement collectif, de la Maison de retraite de Kerborc’his propriété du syndicat et des équipements communs de tourisme, la surveillance des plages notamment. Du fait de la suppression du Syndicat mixte le SIVOM en a repris les responsabilités. Il a donc maintenant sous sa responsabilité :

    - la gestion et l’entretien des équipements tel que la ferme du Creac’h, Roscanvel, la base nautique du Treustel, les WC des dunes et les postes de secours.
    la gestion des espaces naturels de la zone littorale de Combrit-Ile Tudy, comprenant notamment les propriétés du Conservatoire du Littorale et des rivages lacustres et du SIVOM.

    - La gestion des espaces naturels recouvre en particulier les actions de sauvegarde des sites naturels, le bon entretien des ouvrages hydrauliques, la réalisation et l’entretien des ouvrages concourant à la protection des milieux naturels, l’organisation et la surveillance des fréquentations, les usages et utilisations du sol compatibles avec la conservation des espaces.
     

    - le SIVOM peut procéder ou faire procéder à toutes les actions nécessaires à l’accomplissement des missions de gestion, études, travaux, information du public, création de postes, conclusion de conventions, ainsi qu’au financement de ces actions

    - l’entretien du cordon dunaire et de la digue de Kermor. La construction et l’entretien d’une levée de terre en arrière de la dune

    Créé en 1977, il a dans un premier temps géré les ordures ménagères, dossier qui dépend aujourd’hui de la Communauté de Communes du Pays Bigouden Sud.

    Le financement est assuré à hauteur de 72% par la commune et de 28% par L’Ile-Tudy.

    Représentants de la commune : Jean-Claude DUPRE, Michèle LE GALL, Bernard STRUILLOU, Jean Louis LASCHKAR, Nicolas LE BERRE.

    Suppléant : Gwenaël PENNARUN

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  • Pêcheurs-plaisanciers. La cale de carénage au top

    La réunion de vendredi soir était principalement organisée pour présenter la réalisation de la cale de carénage à l'échouage de Sainte-Marin. Elle devrait entrer en service sous peu. Les élus étaient représentés par les adjoints au maire, Gwen Pennarun en charge du port et Christian Loussouarn responsable de l'environnement et de l'urbanisme.

    Circuit de traitement des eaux de carénage

    «Implantée sur la cale de la capitainerie, la surface de carénage a été délimitée par des bourrelets permettant de retenir les effluents qui sont récupérés, dans la partie basse, par un caniveau sous grille qui les conduit dans un bac équipé d'un sac filtrant retenant les particules les plus importantes», expliquent les responsables. «Une pompe de relèvement conduira ensuite les effluents préfiltrés vers un second filtrage opéré dans un local derrière la capitainerie. Ce second filtrage permet de retenir des particules de tailles nanométriques. Les effluents résultants de l'opération seront alors dirigés vers le réseau des eaux usées pour être traités en station d'épuration. Les particules retenues par le filtrage pourront être ensuite collectées et stockées pour être régulièrement envoyées en traitement dans un centre spécialisé», assurent les responsables.

    Trois à six bateaux

    La zone de carénage pourra accueillir à l'échouage, pour une marée, trois à six bateaux selon les tailles. «Les quillards pourront caréner de part et d'autre de piliers d'appui». Trois lances à haute pression sont disponibles à partir d'un boîtier à jetons déclenchant des utilisations d'un quart d'heure. Le prix du jeton est de 20 EUR. «Les réservations devront être préalablement faites auprès des services de la capitainerie. Cette nouvelle installation réalisée sous contrôle de l'Ademe fera l'objet d'un bilan de qualité des effluents à leurs divers stades de traitement».

    in "Le Télégramme"

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  • Comité des pêches : Le SCOT Ouest Cornouaille progresse

    Le 6 avril 2011 se sont tenues à Pouldreuzic, salle Pierre Jakez Helias, plusieurs réunions sur le Schéma de Cohérence Territorial (SCOT). Suite au débat en comité syndical (élus), sur les grandes orientations du Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD), le SCOT Ouest Cornouaille entre dans sa dernière phase : l’élaboration du document d’orientation de d’objectifs (DOO). Ce dernier édictera les recommandations et prescriptions à prendre en compte dans les documents d’urbanisme communaux. Le cadre réglementaire du DOO a été exposé en mars et il est visible sur le site du Syndicat Intercommunautaire Ouest Cornouaille Aménagement (SIOCA) www.sioca.fr.

    Quatre groupes de travail se sont tenus le 6 avril : mobilité/accessibilité, habitat/foncier, environnement, développement économique. Le représentant du Comité des pêches n’a pu participer qu’aux deux derniers.

    La première chose qui frappe c’est le manque de continuité entre la terre et la mer. Pour tous les participants les problèmes s’arrêtent à la fin de la terre, du moins ce qui se passe après est du domaine de l’abstraction ou du virtuel. Il serait très intéressant que nous leur fassions voir une analyse spatiale de nos activités en mer sous forme de Système d’Information Géographique (SIG) pour montrer les liens étroits qui unissent les activités professionnelles en mer et la côte. La seconde est la question récurrente de l’utilisation des ports de pêche. Certains demandent s’ils peuvent changer de vocation ? Et naturellement il n’est pas question d’installer la plaisance dans des friches industrielles… Plusieurs participants ont rappelé que les statistiques portuaires, excepté à Lesconil, étaient toutes en hausse et qu’il fallait arrêter de jouer au « déclinologue » en matière de pêche maritime. Tout dépend du niveau du baril de pétrole, mais s’il monte à des sommets, la plaisance sera aussi compromise. Pour le moment les prix moyens des poissons sont relativement bons et la ressource est abondante. A tout le moins il faut éviter les globalisations et faire des analyses fines port par port. La question du clapage est naturellement venue sur le tapis, brièvement, car le Secrétaire général du Comité des pêches du Guilvinec a mis les choses au point : pas de clapage en mer. Il a d’ailleurs porté à l’attention de l’assemblée que le maire de Lorient, Norbert Maitairie, vient de décider qu’il n’y aurait plus un mètre cube de vase claper en mer dans son secteur.

    Les deux points noirs de circulation automobile du territoire ont été évoqués. Celui de Douarnenez-Quimper et celui qui tient en otage les populations de Penmarc’h et du Guilvinec ainsi qu’une bonne partie de l’activité économique des ports : le bourg de Plomeur, d’ailleurs fermé à la circulation depuis deux jours. Un contournement « intelligent », discuté avec la population avec des contreparties, doit être étudié rapidement par le nord ou le sud. C’est indispensable.

    Quelques paysans se sont lancés dans un projet de méthanisation qui pourrait faire appel aux sous-produits de la pêche. Affaire à suivre avec les mareyeurs.

    Les pêcheurs et leurs représentants ont intérêt à suivre du coin de l’œil ces réunions qui contribueront à aménager pour les vingt ans qui viennent le territoire où ils travaillent.

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  • Mein ha Dour. La médaille de la commune au fondateur

    Le maire Jean-Claude Dupré a remis la médaille de la commune à Glaodig LeCossec, président-fondateur de Mein ha Dour.

    Samedi, l'équipe de Mein ha Dour s'est réunie autour de son président Glaodig Le Cossec, pour lui témoigner sa sympathie. Ceci en compagnie des amis du fondateur de l'association qui défend concrètement le patrimoine local. Le maire Jean-Claude Dupré a rappelé les actions menées par Men ha Dour sous l'impulsion de Glaodig: inventaire et remise en état des lavoirs et fontaines de la commune, signalétique homogénéisée, réhabilitation des murets de pierres sèches et avec la collaboration précieuse de Xavier Coïc, installation du chemin de croix par Xavier de Langlais dans la chapelle de la Clarté. Et ceci n'est qu'une partie des actions menées par l'équipe de Mein ha Dour qui s'est diversifiée en proposant des ateliers d'aquarelle, de peinture, d'encadrement, de poésie, des «merenn vihan», goûters bretonnants très prisés, des balades découverte, le nettoyage de sentiers de rando et la redécouverte de la chapelle Saint-Vital.

    Le travail d'une équipe

    Le maire a aussi évoqué le parcours musical de Glaodig, fondateur du Bagad Bleimor et initiateur du bagad de Combrit avant de souligner que l'association Mein ha Dour avait «sauvé le petit patrimoine de la commune». Puis le premier magistrat de Combrit-Sainte-Marine a remis la médaille de la commune à Glaodig Le Cossec, en associant son épouse Tinaïg à la réussite et à la pérennité de Mein ha Dour. L'homme du jour a souligné qu'il s'agissait

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