• Le Guide régional pour la mise en oeuvre de la réglementation relative aux zones humides est issu des travaux du groupe de travail régional sur les zones humides qui associe les services de l’État (les 4 DDTM bretonnes et la DREAL) ainsi que l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne et l’Office National de l’eau et des milieux Aquatiques (ONEMA) depuis Janvier 2010.

    Il intègre en annexe une proposition de cahier des charges régional pour la réalisation des inventaires des zones humides.

    Destiné aux service de l’État, ce document est susceptible d’être utile également aux acteurs intervenants sur les zones humides et aux interlocuteurs des services de l’État.


    Télécharger :

    Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Les avenants a répétition pris au sujet de l'installation de stockage des déchets non dangereux (ISDND) de Tréméoc usent les élus. «On se demande parfois s'il ne faut pas envoyer directement les camions à Laval», a souligné jeudi soir Jean-Paul Stanzel. Qui a rappelé que «le marché de maîtrise d'oeuvre pour l'extension avait été signé le 28décembre 2006. Cela fait six ans que cela dure, j'espère que ce sera le dernier avenant et que l'on pourra passer à l'enquête publique». Depuis 2006, le montant des avenants s'élève à plus de 54.000 EUR.
    in "Le télegramme"
    Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Télécharger « CR_CC_CCPBS_2012-09-27.pdf »

     

    Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Après l'hydrolien et l'éolien offshore, l'énergie produite par la houle va faire l'objet d'une expérimentation en baie d'Audierne.

    Un projet de ferme houlomotrice, qui vise à utiliser la force des vagues pour créer une énergie qui soit à la fois propre et renouvelable est à l'étude en baie d'Audierne. La zone retenue pour son implantation «n'est pas totalement arrêtée», assure Michel Canévet, président de la Communauté de communes du Haut Pays bigouden. Elle serait toutefois comprise entre Penhors (Pouldreuzic) et Gwendrez (Plouhinec). Le site choisi, considéré comme pilote, se situerait à un mille nautique (environ 2km) des côtes et la ferme pourrait, selon nos informations, voir le jour à l'horizon 2014.

    Houle


    Phase de pré-études

    «Nous sommes encore en phase de pré-études», souligne-t-on du côté de Nass & Wind, bureau d'études lorientais spécialisé dans le développement industriel des énergies renouvelables, marines notamment, qui n'a pas souhaité en dire plus. «Des contacts avec les différents partenaires ont été pris», assure de son côté Jos Le Gall, président du Sioca pour qui ce type de projet s'inscrit pleinement «dans le projet d'aménagement et de développement durable du Schéma de cohérence territorial». Ce projet est porté par DCNS, dont on connaît l'intérêt pour les énergies marines renouvelables. Fortum, producteur d'électricité finlandais, est également partenaire. C'est d'ailleurs avec lui que DCNS mène actuellement au large du Portugal une expérimentation à partir de panneaux métalliques rectangulaires attachés à un socle qui, en bougeant avec la houle, produisent de l'énergie. C'est ce principe qui aurait été retenu à en croire Michel Canévet. La zone retenue, 500m de long sur 30m de large, comprendrait, selon ce dernier, «trois panneaux de 20m, posés à même le sol et oscillant avec la houle». Ces panneaux seront immergés, entre 10 et 20 mètres sous le niveau de la mer (2 à 3mètres à marée basse) et la pêche sera interdite en surplomb.

    Cinq ans d'expérimentation

    Si le bureau d'études dit être encore en phase de concertation, «les études in situ vont être lancées», souligne Pierre Plouzennec, maire de Plozévet, troisième commune littorale concernée par ce projet novateur. Les études vont porter sur la courantologie et la sédimentologie des fonds. Côté production, la ferme devrait produire «l'équivalent d'une éolienne», précise Michel Canévet. «C'est expérimental, il faut voir, mais tout ce qui va dans le sens de la production d'énergie renouvelable est une bonne chose», poursuit l'élu. Le projet semble d'ailleurs plutôt bien accueilli. «Sur le principe général, je suis pour», explique Pierre Plouzennec. Qui attend désormais de connaître les modalités de mise en oeuvre de cette ferme houlomotrice dont l'expérimentation devrait durer cinq ans.

    in "Le Télégramme"

    Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  • Les premiers engins débuteront le dragage du port de Concarneau (Finistère) courant octobre. Ce mois de septembre est donc réservé à la préparation du chantier (notes techniques, réalisation des plans…) L’objectif est de retirer 1,50 mètre de vase le long des deux quais de la réparation navale afin de permettre aux grosses unités d’accoster, ce qui devient de plus en plus problématique. « Les travaux dureront au maximum six mois », assure le conseil général, financeur du projet de dragage. in "Ouest France"

    Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Suite à la dernière réunion du comité de suivi du dragage du bassin du Moros, l'association Bretagne Vivante dresse le bilan de ces opérations, en apportant quelques recommandations. En voici les principaux extraits.

    Bretagne Vivante commence par des chiffres: «Au total ce ne sont que 6.565m³ (au lieu de 8.000m³ envisagés) qui ont été dragués. Mais on a extrait 347t de macrodéchets (en tous genres: ferraille, chariots, vélos...): impressionnant pour une telle surface, ce qui montre l'image que la population peut avoir de la mer et des ports: celle d'une décharge».

    Le tributylétain, principal polluant

    L'association indique qu'elle s'est intéressée au niveau de contamination des sédiments dragués, à la qualité des eaux de ressuyage rejetées dans le port et la qualité du stockage à Combrit, tout en rappelant que «le projet se voulait exemplaire». «La pollution des sédiments était due, principalement (hors chlorures), au cuivre, au zinc et surtout au TBT (tributylétain). Il a été confirmé que les niveaux atteints ne permettaient pas de les classer "déchets inertes" mais plutôt "déchets non dangereux"». D'où ce choix: «Soit les décontaminer pour les valoriser, soit les stocker dans un centre «spécifique», les centres de classe 2 n'étant pas adaptés à cause des taux très élevés de chlorures». Et Bretagne Vivante d'expliquer que «pour la première solution applicable éventuellement dans l'avenir, 30m³ ont été envoyés à Caen pour le programme expérimental Setarm d'utilisation en technique routière». Les résultats diront si ces sédiments seront un jour valorisables.

    Une contamination très en-dessous des seuils

    Bretagne Vivante évoque ensuite le dragage lui-même. «La technique du rideau pour le confinement dans le bassin devra être améliorée (problèmes de rigidité et de colmatage)», note-t-elle. D'autre part, «pendant le traitement à quai, les niveaux de contamination des eaux rejetées dans le port, grâce aux filtres à charbon, ont été très en-dessous des seuils imposés par l'arrêté préfectoral, sauf ponctuellement en mars (pour l'arsenic en particulier), ce qui a entraîné le changement des filtres». Mais pour l'association, «le principal problème s'est manifesté pendant les opérations de remplissage du casier de Ty Coq. Le casier est alors ouvert et les eaux récupérées dans le bassin de rétention étaient beaucoup trop chargées en TBT pour respecter l'arrêté préfectoral d'autorisation de rejet dans le milieu naturel. Il a donc été installé une unité de traitement par osmose inverse pour filtrer les 1.600m³ du bassin de rétention.»

    «Limiter les pollutions en amont»

    L'association affirme que, globalement, «tout a été mis en oeuvre pour que l'arrêté d'autorisation soit respecté, mais que les niveaux de pollution atteints, particulièrement en TBT, entraînent la mise en place de technologies normalement utilisées pour l'eau potable et non pour les eaux usées». Pour elle, il est urgent de limiter les pollutions en amont, sur les quais. «Le non-respect des réglementations pour la protection de l'environnement sur le port se traduit par des coûts et surcoûts importants pour la collectivité». Et de conclure: «Le bassin du Moros n'est pas la partie la plus contaminée du port et l'on sait donc ce à quoi il faut s'attendre pour les dragages à venir».

    Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires