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Nous poursuivons la publication de la présentation du PLU 2014
faite lors de la "Réunion d'échanges avec les associations du 19 décembre 2012".ORIENTATIONS EN MATIERE DE PROTECTION DES ESPACES NATURELS ET AGRICOLES,
DE PROTECTION DES CONTINUITES ECOLOGIQUES
ET DE VALORISATION DES RESSOURCESIdentifier et préserver les continuités écologiques[et les réservoirs de biodiversité
dans le cadre de la trame verte et bleueProtéger les espaces remarquables du littoral.Sauvegarder des coupures d’urbanisation :- entre les agglomérations de COMBRIT et SAINTE MARINE, en appui sur les espaces naturels et agricoles du Cosquer,
- entre l’agglomération de COMBRIT et le village de Kroas Hent,
- au Sud du lotissement de Pen Diry, en limite de la commune de L’ILE TUDY.
Définir des mesures de protection adaptées aux zones humides.Préserver la trame bocagère.Préserver la trame verte en milieu urbain.Classer les parcs et ensembles boisés les plus significatifs.
Trame verte et bleue
Sensibilités environnementales
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Les travaux de rechargement 4 mai 2013
Prise de vue et montage : G Guillou
Le trait de côte avant... 26 janvier 2013
Prise de vue et montage : G GuillouDunes de Treustel au début des travaux de rechargement... 29 avril 2013
Prise de vue et montage : G GuillouDune du Treustel Trait de dune après rechargement : 4 mai 2013
Prise de vue et montage : G Guillou
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Partcipez à notre concours... envoyez nous vos photos, images... de la plage de Sainte-Marine au Treustel en passant par Kermor... Merci d'avance
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Nous poursuivons la publication de la présentation du PLU 2014
faite lors de la "Réunion d'échanges avec les associations du 19 décembre 2012".
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Le ciel s'assombrit sur le sable de nos plages. | KB
Des images nostalgiques de vacances à la mer dans les années 1960, une plongée sur les buildings d'un quartier d'affaires aujourd'hui... et entre les deux, un élément naturel : le sable. Si l'on en trouve de plus en plus sous les pavés - sous l'asphalte en tout cas -, il est de moins en moins présent sur les plages. Pour ce documentaire, Denis Delestrac a mené l'enquête sur sa "disparition", ou plutôt, sur sa gigantesque migration et sur les circuits qui font voyager des milliards de tonnes de granulat, chaque année, autour de la planète. Ces échanges internationaux s'élèveraient à 70 milliards de dollars (54 milliards d'euros) par an.
Il n'y a pas de ressource davantage utilisée, à part l'air et l'eau, estime l'auteur du film. Dans son tour du monde à la fois alarmant et éclairant, il lui arrive de mélanger plusieurs thématiques, en Floride et en Californie en particulier, où c'est moins le sable qui est menacé que les côtes elles-mêmes, laminées entre autres par les aménagements portuaires et les constructions trop proches du rivage.
PAPIER, LESSIVE, BÉTON...
Le commerce et l'extraction de granulats racontent, en creux, la folle expansion des hommes. Même s'il entre dans la composition du papier, de la lessive et des microprocesseurs, le sable nourrit d'abord massivement les appétits du secteur de la construction : les deux tiers des réalisations sont en béton. Mélangé au ciment, c'est un matériau performant, ni cher ni difficile à trouver... jusqu'il y a peu. Car les carrières accessibles se raréfient et les lits des rivières ont été vidés. Les industriels se sont alors tournés vers les fonds sous-marins, où ils extraient par pompage des quantités astronomiques de granulats grâce à d'immenses barges. Une méthode qui aspire tout sur son passage, non seulement le sable mais le plancton et les autres êtres vivants, mais, en plus, déstabilise le littoral, ce qui accélère son érosion.
Pour bâtir ses îles artificielles, Dubaï importe du sable marin d'Australie - celui des déserts n'ayant pas les qualités nécessaires ; pour gagner du terrain sur la mer, Singapour fait venir illégalement du granulat pompé chez ses voisins ; pour construire et loger leurs populations, la Chine et l'Inde, insatiables, en achètent partout... Comme la tension est réelle sur les marchés, le trafic s'organise à grande échelle. A petite aussi : le documentaire nous montre d'étonnantes images de "pêcheurs", plongeant par trois ou quatre mètres de fond pour emplir des sacs de chantier dans les lagons des Maldives ; au Maroc, les "pilleurs" du littoral transportent leur butin à dos d'âne. Leur récolte servira à construire des résidences pour les touristes attirés par les ex-belles plages de la région, elles aussi victimes de l'érosion.
A moins que la résistance ne s'organise, comme en Bretagne, où le mouvement du Peuple des dunes est parvenu à protéger la baie de Lannion, dans les Côtes-d'Armor, du projet d'extraction d'un groupe industriel régional. Pour l'instant.
Denis Delestrac - (France, 2013, 74 minutes). Diffusion le mardi 28 mai à 20h50 sur Arte.
Martine Valo "Le Monde"
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