• Sivom Combrit-Île-Tudy : Assainissement

     

    Porte ouverte pour la population à la station d’épuration du Creac’h, le vendredi 31 mai de 15h à 18h.

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  • RÉUNION PUBLIQUE

    LA PRISE EN COMPTE DES DOCUMENTS SUPRA COMMUNAUX :  LES DISPOSITIONS DU SCOT DE L’OUEST CORNOUAILLE

    Une réunion publique relative au PADD (Plan d’aménagement et de développement durable) dans le cadre du PLU (plan local d’urbanisme) aura lieu le Vendredi 24 mai 2013 à l’espace sportif de Croas Ver à 18h30.

    Pour info : SCOT-OC : Le Projet d'Aménagement et de Développement Durable (PADD)

     

    Fichiers:

     

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  • Selon les pêcheurs, la vase du dragage est jetée dans les zones à langoustines.Selon les pêcheurs, la vase du dragage est jetée dans les zones à langoustines. | Ji-Elle / Wikimedia Commons

    Une quarantaine de bateaux de pêche ont empêché mercredi au large de Loctudy (Finistère), dans une zone de langoustines, le rejet de boues provenant du dragage de ce port, dénonçant le déversement en mer "d'une vraie poubelle", a-t-on appris auprès des pêcheurs et de l'association Robin des Bois. Les navires ont ensuite remonté dans leurs chaluts plus d'une tonne de ces boues qu'ils ont déversées sur les quais du port voisin du Guilvinec, a constaté une correspondante de l'AFP.

    Les boues déversées en mer sont constituées de vase, mais aussi de "macro-déchets, de bouteilles, de frigos", a indiqué à l'AFP Dominique Faou, membre de l'Association de protection des pêcheurs professionnels du littoral, qui regroupe une cinquantaine de navires opposés à ces rejets en mer.

    "LA ZONE EST MASSACRÉE"

    "C'est une vraie poubelle que le conseil général [du Finistère] et la commune de Loctudy jettent dans nos zones à langoustines par 90 mètres de fond", a-t-il regretté. "Cette vase a la même densité que de la roche", a déploré un autre pêcheur, Johan Gueguen, également interrogé par l'AFP. "Au bout d'un mois de clapage [ce genre de rejet en mer], la zone est massacrée, a-t-il assuré. On réclame l'arrêt des clapages partout en France, c'est inadmissible, en 2013, de faire ce genre de choses."

    Robin des Bois exprime, dans un communiqué, "sa solidarité avec les pêcheurs", soulignant que la zone où sont rejetées les boues, au sud du Guilvinec, est "riche en biodiversité et en ressources halieutiques à vocation commerciale". "Ce blocage est de la légitime défense non violente face au rejet en mer des boues de dragage du port de Loctudy", indique l'association écologiste.

    Débutées fin mars 2012, les opérations de dragage de ce port doivent s'achever en 2014. Elles ont cependant été arrêtées pendant plusieurs semaines en raison d'un recours déposé auprès du tribunal administratif de Rennes par le Comité régional des pêches. Elle ont repris samedi dernier après le rejet du recours.

    in "Le Monde"

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  • Des digues intégrant des systèmes hydroliens et houlomoteurs pour produire de l'électricité : c'est le projet présenté aujourd'hui et portant sur les ports de Saint-Guénolé-Penmarc'h et d'Esquibien, dans le Finistère sud.

     

    Six sites finistériens avaient été étudiés pour de telles installations, mais c'est le potentiel des deux ports du sud du département, très exposés aux fortes houles, qui a été retenu par le Centre d'études techniques maritimes et fluviales (Cetmef).

    Lors de leur renouvellement, leurs digues seront équipées de systèmes de batteurs-flotteurs pour faire des ports de véritables "usines électriques" et permettre l'utilisation de cette énergie par les installations portuaires comme par les navires, a indiqué Philippe Sergent, directeur scientifique du Cetmef.

    Une ferme houlomotrice à deux kilomètres des côtes
    Toujours au chapitre des énergies renouvelables, la phase d'étude de la ferme houlomotrice de la baie d'Audierne commencera en juin pour aller vers une production le plus rapidement possible, avec un objectif pour 2016. Elle occupera un secteur allant de Pouldreuzic à Plozévet, à deux kilomètres des côtes, et devrait produire jusqu'à quatre millions de kW/h par an, selon la DCNS, porteuse du projet avec la société Fortum.

    "Le Télégramme"

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  • Économies d'eau : La CCPBS finance des récupérateurs d'eau de pluie pour l'arrosage des jardinsLa Communauté de communes du Pays Bigouden reconduit son dispositif pour financer l'achat de récupérateurs d'eau de pluie à destination de l'arrosage des jardins. Pour tout achat d'un bac (dans la limite d'un par foyer) la CCPBS rembourse 30 € par bac et par foyer.

    Devant les problèmes de sécheresse préoccupants en 2011 et qui pourraient se reproduire, la CCPBS multiplie les actions pour sécuriser la ressource en eau qualitativement et quantitativement (notamment en période d'étiage ). Elle le fait dans le cadre de l'élaboration d’un schéma d’alimentation en eau potable au niveau du Sage Ouesco par des recherches d'interconnexion ou la réflexion sur la création de nouvelles retenues. Elle le fait avec son fermier la Saur en améliorant l'usine pour limiter les pertes liées au procédé de potabilisation de l'eau ou en améliorant le réseau pour limiter les fuites. Elle le fait enfin en incitant les usagers à une utilisation raisonnée de l'eau.

    Un équipement écologique et économique.

    Aujourd'hui, la CCPBS lance un nouveau dispositif incitatif. Les habitants du Pays Bigouden Sud sont invités à s'équiper de récupérateurs d'eau de pluie destinés à des usages extérieurs (arrosage des jardins, etc.).
        - Ce geste pour l'environnement permet d'économiser la ressource en eau.
        - Il permet de faire des économies financières.
        - Il offre une solution alternative écologique et gratuite.
        - La récupération de l’eau de pluie, c’est aussi restreindre les risques de saturation des stations d’épurations et d’assainissement.

    Comment fonctionne le dispositif ?

        - La CCPBS soutient l’achat des récupérateurs, quel que soit le lieu d’achat.
        - Le volume du récupérateur ne doit pas excéder 1m³ (1 000 litres)
        - Il est réservé exclusivement pour le jardinage.
        - Pour bénéficier du soutien financier de 30 € vous devez envoyer par courrier à la CCPBS un justificatif de domicile sur l’une des communes du Pays Bigouden Sud accompagné (facture d'électricité ou d'eau récente) d’une preuve d’achat (facture acquittée ou ticket de caisse) et d’un RIB (relevé d'identité bancaire).
        - La CCPBS vous créditera de 30 € par virement bancaire.
        - Le soutien est limité à un achat par foyer (même nom, même adresse)

    in "http://www.cc-pays-bigouden-sud.fr"

    Télécharger le formulaire

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  • 2013-64 DEL / RANDONNEE – DEFINITION DE L’INTERET COMMUNAUTAIRE

    Monsieur le Maire expose au Conseil Municipal que le Conseil de Communauté a délibéré, le 21 mars dernier, pour définir l’intérêt communautaire de la compétence randonnée inscrite dans ses statuts. Monsieur Gaonac’h, conseiller municipal et vice-Président de la CCPBS, apporte quelques précisions sur les critères de l’intérêt communautaire.

    La définition suivante est proposée à la suite de l’alinéa figurant dans les statuts approuvés par arrêté préfectoral du 23 décembre 2011 (« Randonnée : création de sentiers d’intérêt
    communautaire, entretien du GR 34 et des sentiers de randonnée d’intérêt communautaire,  signalétique d’intérêt communautaire et équipements accessoires ») :

    Sont déclarés d’intérêt communautaire :

    • Les sentiers inscrits ou présentant les caractéristiques pour être inscrits au Plan Départemental des Itinéraires de Promenades et de Randonnées (PDIPR
    • Les sentiers permettant de relier entre eux les sentiers inscrits ou présentant les caractéristiques pour être inscrits au PDIPR

    Dans ce cadre, la CCPBS prend en charge :

    • La coordination de la mise aux normes du balisage et de la signalétique
    • La restauration, mise en sécurité et confort d’entretien des sentiers
    • L’entretien régulier des itinéraires ; cependant, l’entretien des chemins sur lesquels la circulation des engins motorisés est autorisée, reste à la charge des gestionnaires de  la voirie (commune ou département)
    • La pose d’équipements et de mobiliers comme les tables d’orientation, dans le cadre d’un schéma d’aménagement


    Le Conseil Municipal, après avoir délibéré, approuve à l’unanimité cette définition de l’intérêt  communautaire en matière de randonnée.

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  • Le projet de ferme houlomotrice en Baie d'Audierne (Le Télégramme du 21 septembre 2012) est toujours d'actualité. Vendredi soir, Pierre Plouzennec, maire de Plozévet, l'une des communes concernées par le projet, a expliqué qu'un représentant de DCNS devait le rencontrer à ce sujet mercredi. De son côté, la maire de Pouldreuzic, contactée hier, expliquait n'avoir toujours pas été sollicitée.

    Entre Penhors et Pors-Poulhan

    Selon le maire de Plozévet, « l'affaire a pris un peu de retard » mais n'est pas abandonnée. La zone retenue pour l'implantation de cette ferme se situerait finalement « entre le port de Penhors et le port de Pors-Poulhan », soit au large d'une zone comprise entre Pouldreuzic et Plozévet. Comme nous l'écrivions déjà en septembre dernier, DCNS va travailler avec Fortum, producteurs d'électricité finlandais. DCNS va s'occuper de la partie « éléments marins » et Fortum de la partie ingénierie électrique. « Cette ferme houlomotrice devrait être implantée à un mille nautique (environ 1,8 km) du rivage par 20 à 30 mètres de fond. Des couloirs de navigation seront interdits à la navigation », explique Pierre Plouzennec.

    Colloque mercredi

    Mercredi doit se tenir, à Plozévet, un colloque sur les énergies marines sur le thème : « Quelles énergies marines renouvelables pour la Cornouaille ? », organisé par Quimper-Cornouaille Développement, dans le cadre de sa GIZC (gestion intégrée des zones côtières) de Cornouaille. Ce colloque doit rassembler différents intervenants sur l'énergie et les énergies marines renouvelables. Les différents projets existant en Cornouaille, dont celui de ferme houlomotrice, seront présentés.

    • Stéphane Guihéneuf avec Laurence Prime "Le Télégramme"
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