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    SIVOM : Défense côtière du polder de Combrit / Etudes complémentaires

    L'appel d'offre, en date du 17 mars 2014, pour les "Etudes complémentaires du système de protection du polder de Combrit, Missions de maitrise d'oeuvre et dossiers d'autorisation pour la mise en sécurité contre le risque de submersion marine du polder de Combrit" s'avère très instructif et il mérite de prendre le temps de la lecture.

    Au delà des discours "discrets et officiels" il à le mérite de montrer que les plus grands doutes ont été émis sur les solutions proposées tant du point de vue techniques qu'économique.

    Nous espérons pouvoir vous en dire plus mais le moins que l'on puisse dire c'est que la transparence n'est pas très grande dans ce dossier. Aucune information n'est rendu publique ni par le SIVOM, ni par les communes, ni par les services de l'état... Une affaire à suivre.

    Quelques extraits :

    "Les différents avis émis par les services de la DREAL ont conduit à proposer la décomposition suivante de la mission à réaliser
    ✗Approfondissement des connaissances du système de protection du polder de Combrit :


    •Études des aléas (niveaux marins, hydrologie et hydraulique du polder)
    •Fonctionnement hydraulique du polder (vérification de la capacité d'évacuation des eaux et proposition d'optimisation du système hydraulique)
    •Analyse du système de protection (deux digues et des cordons dunaires : Treustel et du Haffond), points hauts entre ces éléments...
    •Analyse du niveau de protection du futur système d'endiguement
    •Étude de mise en cohérence de la Digue de Kermor


    ✗Une mission de maîtrise d’oeuvre complète ayant pour but de valider (démontrer la pertinence technique de la solution combinée), voire d'adapter, la digue arrière du Treustel en répondant aux remarques émises dans le cadre de la labellisation.

     

    Part de l'enveloppe financière prévisionnelle hors TVA affectée aux travaux : 2 600 000 €
    Part de enveloppe financière affectée aux études complémentaires et prestations de maîtrise d’oeuvre : 240 000 €.

    Phase E : Dossier de synthèse
    ✗ réponses aux réserves et observations émises dans le cadre de la labellisation des dossiers PAPI et PSR

    Dossiers de demandes d'autorisations
    Actualisation et compléments des dossiers de demandes d'autorisations et accompagnement du maître d’ouvrage pour les procédures administratives, avec une veille administrative au fil de l'avancement des études. Les demandes d’autorisations administratives nécessitent de déposer les dossiers suivants :


    • étude d'impact sur l'intégralité du projet incluant l'évaluation d'incidences Natura 2000
    • actualisation de l’inventaire des espèces protégées
    • dossier loi sur l'eau (prélèvement et dragage de sable, aménagements cours d’eau, zones humides)
    • dossier d’enquête publique
    • permis d'aménager (intégrant la procédure liée au site classé)
    • dossier d'autorisation de défrichement
    • dossier d'autorisation de coupe de plantes aréneuses
    • dossier d'autorisation de destruction d'espèces protégées
    • dossier de demande d’autorisation d’occupation du domaine publique maritime (AOT rechargement de sable)
    • dossiers de procédures spécifiques prélèvement et dragage de sable (ICPE... - si nécessaire)

    Le maître d'ouvrage prévoit une notification et un démarrage des études pour Juin 2014.
    Les travaux pourraient être autorisés au cours du 2 ème semestre 2015.

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    Prise de vue

    La CCPBS vous propose d’exposer vos plus beaux clichés de zones humides. Munissez vous de votre appareil, partez en balade dans les zones humides bigoudènes, affûtez votre œil et proposez-nous vos plus belles vues. Les cinq plus beaux clichés choisis par le jury seront tirés en grand format puis exposés dans la maison de la baie d’Audierne du 27 juin au 31 août 2014.

    En effet, la maison de la baie d’Audierne se met à l’heure des zones humides cet été. Durant les mois de juillet et d’août, expositions, films, jeux, balades vous seront proposés pour présenter les zones humides (étang, marais, polder, roselière) et vous sensibiliser à leur nécessité et leur fragilité.

    Ces espaces fragiles et encore méconnus seront l’honneur lors de cet événement par le biais de différents supports : peintures, photographies, court-métrages, panneaux d’informations. Cette exposition met l’accent sur le fonctionnement et la préservation de ces milieux aquatiques pour vous les faire découvrir et apprécier à leur juste valeur, loin des idées reçues.

    Quelques exemples : Marais de Lescors, Etang de Saint-Vio, Etang de Trunvel, Loch Ar Stang, Marais de la Joie, Rivière de Pont-l’Abbé, Polder de Combrit…

    Vous voulez participer ?

    Téléchargez le règlement et retournez-le avec vos clichés avant le 30 mai au siège de la CCPBS – 17 rue Raymonde Folgoas-Guillou à Pont l’Abbé ou à photos@ccpbs.fr

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  • Déchets : vers l'attribution du marché

    Le conseil communautaire a autorisé le président à signer le marché d'exploitation du site, qui prendra effet à partir du mois d'octobre. Choisi après un appel d'offres ouvert, l'exploitant se chargera de l'ancien site et du nouveau. Début octobre, les travaux de construction des nouveaux casiers devraient être presque achevés puisque le calendrier communautaire prévoit de stocker les déchets à partir de novembre. Le marché est signé pour trois ans, renouvelable deux fois pour un an. Son montant maximum pour 5 ans est de 1 375 000 €.

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  • Le Pays bigouden sud a installé ses commissions

    Le conseil communautaire du Pays bigouden sud a installé ses cinq commissions mercredi. Il a aussi défini l'indemnité de fonction du président et de ses dix vice-présidents.

    Rémunérations

    Sous la présidence de Raynald Tanter, le nouveau maire PS de Penmarc'h, le conseil communautaire du Pays bigouden sud a validé mercredi soir l'indemnité de son président et de ses dix vice-présidents. Elle se monte à 2 090 € bruts mensuels pour le président et à 798 € bruts mensuels pour chaque vice-président.

    Commission promotion économique, filière maritime, agriculture, promotion du territoire et tourisme

    Liliane Tanguy et Gérard Yve (Combrit), Maryannick Raphalen et Loïc Le Dréau (Loctudy), Daniel Le Balch (Le Guilvinec), Maurice Le Floch et Robert Bouguéon (Penmarc'h), Guylaine Calvez et Yannick Le Moigne (Plobannalec-Lesconil), Daniel Couïc et Joël Martin (Pont-l'Abbé), Katia Gravot (Saint-Jean-Trolimon), David Chevrier (Treffiagat) Stéphane Morel (Tréguennec) et Isabelle Tanneau (Tréméoc).

    Commission équipements communautaires, finances, budget, administration générale et personnel

    Jacques Beaufils (Combrit), Éric Jousseaume (l'Île-Tudy) Jean-Luc Tanneau (Le Guivinec), Christine Zamuner (Loctudy), Maurice Le Floch et Robert Bouguéon (Penmarc'h), Bruno Jullien (Plobannalec-Lesconil), Marie-Thérèse Gouzien (Plomeur), Annie Caoudal, Carine Baranger et Stéphane Le Doaré (Pont-l'Abbé), Katia Gravot (Saint-Jean-Trolimon), Danièle Bourhis (Treffiagat), Stéphane Morel (Tréguennec) et Jean l'Helgouarc'h (Tréméoc).

    Commission réseaux, travaux, très haut débit, eau, déchets

    Vincent Gaonac'h (Combrit), Paul Coïc (l'Île-Tudy), Maryannick Raphalen, Philippe Méhu et Loïc Le Dréau (Loctudy), Christian Burel (Penmarc'h), Bruno Jullien (Plobannalec-Lesconil), Ronan Crédou et Hubert Andro (Plomeur), Thierry Mavic (Pont-l'Abbé), Yannick Droguet (Saint-Jean-Trolimon), David Chevrier et Nathalie Tanneau (Treffiagat), Claude Boucher (Tréguennec), Jean L'Helgouarc'h (Tréméoc).

    Commission aménagement, habitat, espaces naturels

    Vincent Gaonac'h (Combrit) Paul Coïc (l'Île-Tudy), Daniel Le Balch (Le Guilvinec), Marie-Ange Buannic (Loctudy), Amandine Guyomar (Penmarc'h), Frédéric Le Loch et Yannick Le Moigne (Plobannalec-Lesconil) Marcel Garrec (Plomeur), Daniel Couïc, Valérie Dréau et Anne Tincq (Pont-l'Abbé), Katia Gravot (Saint-Jean-Trolimon), Danièle Bourhis (Treffiagat), Claude Boucher - (Tréguennec), Isabelle Tanneau (Tréméoc).

    Commission solidarités

    Liliane Tanguy et Gérard Yve (Combrit), Éric Jousseaume (l'Île-Tudy), Stéphanie Gadonnay (Le Guilvinec), Marie-Ange Buannic (Loctudy) Marie-Claire Dupont et Christian Burel (Penmarc'h), Guylaine Calvez (Plobannalec-Lesconil), Marie-Thérèse Gouzien (Plomeur), Annie Caoudal et Joël Marti (Pont-l'Abbé), Danièle Bourhis et Nathalie Tanneau (Treffiagat), Claude Boucher (Tréguennec), Isabelle Tanneau (Tréméoc).

    in "Ouest France"

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  • CCPBS / Conseil : compte-rendu 07/05/2014

    Le conseil de communauté s’est réuni salle croas Malo de Léchiagat, le mercredi 7 mai 2014 à 18 h 30.

    Ordre du jour
    • Commission communautaires
    • Représentation de la communauté de communes dans les organismes extérieurs
    • Marché public d’exploitation de l’ISDnd
    • Musée de la Préhistoire – convention de gestion
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  • Gwénaël Pennarun est adjoint au maire de la commune de Combrit. Il est chargé des affaires portuaires. Lire ci dessous l'article publié sur lemonde.fr .

    Le Monde | 07.05.2014 à 09h57  Par Angela Bolis

    Gwénaël Pennarun pêche le bar et le lieu jaune au large de Sainte-Marine, autour des Glénan en Bretagne.

    Gwénaël Pennarun est pêcheur aux confins de la Bretagne, là où l’Europe s’arrête dans l’océan. En cette saison, il part en mer sept jours sur sept, de 8 heures du matin « jusqu’à ce que ça ne morde plus ». Généralement seul sur son bateau d’une dizaine de mètres, il connaît ce coin de l’Atlantique autour de l’archipel des Glénan comme sa poche. Le matin, il y pêche au filet quelques kilos de lançons, des petits poissons argentés qui lui serviront d’appât, puis il traque les bancs de bars, un poisson noble. Il arrive à Gwénaël Pennarun de rentrer bredouille de sa journée en mer. Mais ce jour-ci, avec sa simple canne à pêche, lançant sa ligne dans la mer houleuse et moulinant sans cesse, il sort de l’eau, en quelques heures, plus de 30 kilos de bars et autant de lieus jaunes.

    La méthode est artisanale et l’on devine que la quantité de poissons tirés des flots ne videra pas l’Atlantique. Mais la petite pêche bretonne est régie par l’Union européenne au même titre que les navires-usines ou les grands chalutiers pélagiques, depuis la première politique commune de la pêche (PCP) en 1982. Cette PCP est réformée tous les dix ans. Sa dernière version, adoptée en décembre, va entrer en vigueur grâce au plan de financement approuvé mi-avril par le Parlement européen.

    Gwénaël Pennarun pêche essentiellement le bar et le lieu jaune, à la ligne, seul sur son bateau de moins de 12 mètres.

    Pour Gwénaël Pennarun, elle va plutôt dans la bonne direction. « Pour la première fois, au moins, les eurodéputés ont découvert qu’il existait une petite pêche. Parce qu’avant, à Bruxelles, ils ne voyaient vraiment que les gros. » Le marin cite en premier lieu l’article 17, sur lequel les petits pêcheurs comptent tout particulièrement pour défendre leurs intérêts. Celui-ci préconise d’inclure « l'impact de la pêcherie sur l'environnement » et sa « contribution à l'économie locale » parmi les critères d’attribution des droits de pêche par chaque Etat.

    Gwénaël Pennarun estime que ces résultats « encourageants » sont le fruit des efforts de lobbying des petits pêcheurs, qui n’ont pas les mêmes moyens que la pêche industrielle pour aller défendre leurs intérêts dans les couloirs du Parlement européen. Peu avant l’adoption de la réforme, ils ont fondé l’association Life, pour Low Impact Fishers of Europe, qui revendique plus de 5 000 petits pêcheurs de France, du Pays-Bas, du Royaume-Uni, de Pologne, d’Espagne, de Grèce et de Croatie. L’association, financée par une fondation anglaise, a prévu de salarier un directeur de communication qui sera chargé du lobbying à Bruxelles.

    JEUX ET ALLIANCES AU TEMPLE DU LOBBYING

    « Quand on s’est réunis pour la première fois entre petits pêcheurs français, on a vite compris qu’on ne pourrait pas faire bouger grand-chose au niveau national. Il fallait agir au niveau européen. C’est grâce à des ONG comme Greenpeace, qui nous ont poussés à nous allier entre pays, nous ont mis en contact, nous ont défrayés, quon s’est finalement associés, parce que sinon nous, on serait restés chacun dans notre coin », se souvient le marin-pêcheur.

    La collaboration des pêcheurs artisanaux avec ces grandes ONG environnementales se résumera surtout à un soutien logistique ponctuel, et leurs points de vue ne convergent pas toujours. Par contre, pour le ligneur breton, les intérêts à défendre sont globalement les mêmes pour tous les petits pêcheurs européens. « Qu’on soit en Grèce ou en Allemagne, c’est toujours le même problème, on est bouffés par les gros qui puisent les ressources. Aujourd’hui, c’est sûr qu’on trouve moins de poissons qu’il y a dix ans. Les grands chalutiers se rapprochent de plus en plus des côtes, près de nos zones de pêche, pour réduire les coûts de gazole. Et quand ils se mettent à vendre les mêmes espèces que nous, ils font chuter les cours. Le problème pour nous tous, c’est qu’on n’est pas soutenus face à ces grands armateurs. »

    Gwénaël Pennarun pêche essentiellement le bar et le lieu jaune à la ligne, seul sur son bateau de moins de 12 mètres.

    L’une des raisons de ce manque de représentativité dans les institutions européennes est tout simplement matérielle, poursuit le marin-pêcheur. « Les gros armements, ils ont des représentants dédiés au lobbying qui sont constamment à Bruxelles, et pendant ce temps, leur bateau est en mer. Moi quand je vais à Bruxelles, le bateau est à quai pour une journée ou plus, et je perds de l’argent. Et encore, j’ai de la chance, avec un collègue, on partage en deux ce qu’il pêche… » Résultat, pour Stéphane Baucher, très présent à Bruxelles pour l’association écologiste Oceania 2012, créée à l’occasion de la nouvelle PCP, « la petite pêche n’a quasiment pas été entendue. A Bruxelles, ce qui est positif, cest que tout le monde peut s’exprimer. Mais quand vous représentez le port de Lorient, on vous prête une autre oreille que quand vous êtes petit ligneur sur la pointe bretonne », résume-t-il.   

    « C’est sûr que les petits pêcheurs sont les moins structurés », estime aussi Alain Cadec, député européen et vice-président de la commission pêche, qui se dit « en permanence sollicité » par les différents lobbies. « Au final, les plus gros lobbyistes, devant même la grande pêche, ce sont les ONG environnementales, assure-t-il. Mais je ne ferme jamais mon bureau à personne, les élus locaux, les parlementaires nationaux, les ministres de la pêche, les professionnels... Bruxelles, c’est un système un peu anglo-saxon, un lobbying transparent, réglementé, avec des gens répertoriés qui ont leur carte de lobbyiste. On discute, on rapproche nos points de vue : c’est important pour former nos idées avant d’aller voter. »

    DE BRUXELLES AUX LIGNEURS BRETONS, UN IMPACT DIRECT

    Sous-représentés, les petits pêcheurs sont pourtant directement concernés par les lois européennes, face auxquelles ils se sentent parfois pénalisés. Exemple le plus flagrant : les quotas de pêche, soit le stock de poissons d’une espèce que l’UE autorise à pêcher selon les Etats.

    Pour Gwénaël Pennarun, il est discriminant que la pêche d’une espèce, une fois le quota atteint, soit fermée pour les gros comme pour les petits pêcheurs, les premiers ayant bien plus contribué à épuiser la ressource que les seconds. Dans le cas du lieu jaune, une espèce vitale pour les ligneurs bretons, ces derniers ne doivent leur salut qu’à l’actuelle tolérance de l’organisation de producteurs qui gère l’application locale de cette réglementation, et ferme la pêche plus tôt pour les gros armements, afin que les plus petits terminent leur saison. De manière général, pense Gwénaël Pennarun, « ces quotas sont là pour sauver la grande pêche, pour montrer qu’on fait quelque chose, au lieu d’interdire vraiment les méthodes de pêche les plus destructrices ».  

    Gwénaël Pennarun sur son bateau de pêche, le bélouga.

    Dans l'Union européenne, après plus de trois décennies de PCP, près de 90 % des réserves halieutiques sont surexploitées, d’après Maria Damanaki, commissaire européenne à la pêche depuis 2009. La même année, la Commission définissait la situation de la pêche communautaire par « une surexploitation des stocks, une surcapacité des flottes de pêche, de fortes subventions, une faible résilience économique et une baisse des quantités de poissons capturées par les pêcheurs européens ».

    La nouvelle PCP pourrait changer la donne, notamment en fixant d’ici à 2020 un objectif de rendement maximal durable, afin de ne pas pêcher plus que ce que l’océan peut produire. Reste à mettre en œuvre, au niveau national, ces grands principes européens. La prochaine bataille, pour Gwénaël Pennarun, se passera au niveau du ministère, avec le secrétaire d’Etat chargé de la pêche Frédéric Cuvillier, également maire de Boulogne-sur-Mer, premier port de pêche français. Or « à ce niveau là, on n’est pas encore du tout entendus, c’est catastrophique », regrette le pêcheur. Greenpeace a accusé le Boulonnais de mépriser la petite pêche artisanale, qu’il a comparée à une « pêche de loisirs » dans La Voix du Nord, pratiquée à l’aide de « barques » dans une audition assez édifiante à l’Assemblée nationale, comme le montre la vidéo ci-dessous :

    Pourtant d’après la plateforme de la petite pêche, ces pêcheurs artisanaux travaillant sur des bateaux de moins de 12 mètres représentent « près de la moitié des marins-pêcheurs français et plus de 80 % des bateaux de pêche en France, [et] au niveau européen, 65 % des emplois directs et 83 % de la flotte ».

    Retour de pêche pour Gwénaël Pennarun et ses confrères dans le port de Sainte-Marine sur la pointe de la Bretagne.
     
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