• La communauté de communes du Pays bigouden sud organise une collecte de déchets d'amiante liée de type fibrociment, la deuxième quinzaine de juillet. Ce service, gratuit, est strictement réservé aux particuliers du territoire et est limité à 15 plaques (environ 15 m² de couverture) ou d'œ m3. Ces déchets, seront à déposer, sur rendez-vous, dans une benne adaptée. Inscriptions avant le 12 juillet en indiquant le nombre de plaques (ou la surface) au 02 98 87 80 75 ou à dechets@cc-pays-bigouden-sud.fr

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  • C'est, en tonnes, le volume des déchets ménagers collectés en Pays bigouden sud en 2012. Un chiffre en baisse de 2,1 % par rapport à 2011. Un peu moins de la moitié est valorisé en compost.

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  • La communauté de communes du Pays bigouden sud poursuit son programme de réduction des déchets. Sa cible : les tontes de pelouse, qui avec 4 000 tonnes représentent la moitié des apports annuels en déchetteries. Inutiles et coûteuses dans la filière de production de compost à Lézinadou, les tontes peuvent être facilement réemployées dans le jardin sous forme de paillage par exemple. Afin de sensibiliser et de former les jardiniers à ce recyclage maison, la communauté organise des animations cette semaine avec Denis Pépin, ingénieur écologue agronome premier prix du concours national des jardiniers de France. Elle intervient sur cinq communes cette semaine. Mardi 19, le matin au marché du Guilvinec. Mercredi 19 sur celui de Lesconil (le matin). Jeudi matin sur le marché de Pont-l'Abbé, vendredi 21 de 9 h à 12 h au Bricomarché de Plomeur et samedi 22 de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h au Magasin vert de Plonéour-Lanvern.

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  • La Communauté de communes du Pays Bigouden et l'association "Sur un air de terre" lancent le label "événement éco responsable". Il s'agit d'une démarche originale pour inciter les organisateurs d'événements sur le Pays Bigouden Sud à réduire leur impact sur la planète et à devenir des relais pour sensibiliser les "festivaliers" à l'environnement. Concrètement, l'organisateur qui s'inscrit dans la démarche doit s'engager à respecter une charte et répondre à 4 impératifs : utiliser des gobelets réutilisables, trier les déchets, avoir une action de sensibilisation auprès des "festivaliers" et des médias, participer à l'évolution de la charte d'engagement.

    Renforcer l'action déjà engagée

    La Communauté de communes du Pays Bigouden Sud s'est engagée depuis 2010 dans un programme de prévention des déchets qui vise à faire baisser le poids de déchets produits par habitant. Pour cela, elle initie des partenariats avec les acteurs locaux afin de renforcer son message. S'appuyer sur les associations locales permet de renforcer l'action publique. Dés 2011, l'association "Sur un air de terre" et la CCPBS ont lancé l'opération "gobelets réutilisables" pour permettre aux associations organisant des événements locaux de réduire leurs déchets en évitant de jeter des verres en plastique. 6 000 gobelets ainsi que des supports de communication sont à la disposition des organisateurs d'événements et l'association assure un suivi et une logistique pour faciliter leur utilisation.

    Une démarche originale

    Bien sûr, les grands événements type "festival des vieilles charrues" mettent en place ce genre de démarche. Cependant, à l'échelle d'une Communauté de communes et à destination de plusieurs petits événements, cette démarche est rare pour être soulignée. La CCPBS et l'association "Sur un air de terre" veulent que le maximum d'organisateurs d'événement adhèrent à ce dispositif peu contraignant afin que ce label soit une nouvelle porte d'entrée dans les foyers bigoudens pour relayer le message de réduction des déchets.

    Qu'est-ce que le label ?

    Le Pays Bigouden Sud s’anime d’évènements tout au long de l’année. Nombre d’entre eux se déroulent sur des sites sensibles et fragiles. Ces regroupements de public sur un même lieu engendrent une surconsommation et de fortes contraintes logistiques coûteuses en temps, en moyens humains et matériels. En fin d’événement, le site se retrouve bien souvent sale et souillé de déchets au sol dont une grande partie de gobelets plastique. Pour concilier organisation de manifestations et préservation de l’environnement, cette charte "Événement éco-responsable" composée de règles simples s’adresse à toute personne souhaitant organiser un événement en Pays Bigouden Sud. Pour que la fête ne soit pas une défaite écologique, l'organisateur s’engage :
        - À réduire la production de déchets à la source en empruntant les gobelets réutilisables de la CCPBS.
       - À trier les déchets afin de valoriser les emballages recyclables : principalement les canettes métalliques, les bouteilles plastiques et les cartonnages collectés en sacs jaunes ainsi que le verre collecté en bacs spécifiques.
        - À contribuer à l’évolution de cette charte en fournissant la fiche bilan de l’événement ci-contre.
       - À communiquer sur son engagement auprès de la presse locale, du public lors de l’événement et à utiliser le logo "Événement Eco-responsable" sur tous les supports de communication de l’événement (affiches, tract, etc.). En s’engageant à respecter cette charte, la manifestation reçoit l’attribution du label "Événement éco-responsable" délivré par la CCPBS.

    Télécharger la charte

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  • La Communauté de communes du Pays Bigouden Sud(CCPBS) participe à la semaine européenne de réduction des déchets sur le thème du gaspillage alimentaire.
    Elle propose du 19 au 24 novembre des animations dans les centres commerciaux du territoire afin de sensibiliser le consommateur et lui donner les clés pour éviter de jeter des aliments.

    Qu'est-ce que le gaspillage alimentaire ?
    C’est le fait de devoir éliminer comme "déchets", des denrées alimentaires préparées ou non, qui n’ont pu être consommées parce que périmées, en excès ou incomplètement valorisées. Chacun peut donc contribuer à sa diminution. Le gaspillage alimentaire est présent tout au long de la chaîne de production, de distribution et de consommation ; du champ à la fourchette.
    L'alimentation, avant même de parler de gaspillage alimentaire, a des impacts sur l'environnement puisque sa production, son transport, sa distribution et sa cuisson, nécessitent l'utilisation de matières premières, d'énergie et d'eau. Les aliments produisent donc des déchets et rejettent tout au long de leur cycle de vie des gaz à effet de serre et notamment du CO2.

    En France, le gaspillage alimentaire représente un coût de 400 euros pour une famille de quatre personnes et un volume annuel, par habitant, de 20 à 30 kg de nourriture jetée.
    Production agricole, transformation industrielle, grande distribution, restauration collective et familles : tous les acteurs de la chaîne alimentaire sont concernés par le gaspillage.

    Pour sensibiliser le consommateur, la CCPBS propose donc une campagne de sensibilisation dans les supermarchés.

    Cette animation vise à mieux comprendre le gaspillage alimentaire en donnant des clés au consommateur pour tenter de le réduire.
    L'association "Aux goûts du jour" choisie par la CCPBS pour sensibiliser les consommateurs informera par exemple sur : la DLC (date limite de consommation) et la DLUO (date limite d'utilisation optimale) ; sur la manière de réaliser ses achats (faire un menu, faire une liste pour acheter juste les produits et les quantités nécessaires, respecter la chaîne du froid) ; sur le respect des aliments (bien ranger son frigo en fonction des températures de conservation et en fonction de leur date limite de consommation) ; de donner des idées pour cuisiner avec les restes, etc.

    L'association sera présente du 19 au 24 novembre dans les supermarchés bigoudens :
    • Lundi 19 au Super U de Plobannalec-Lesconil
    • Mardi 20 à l'Intermarché de Pendreff à Plomeur
    • Mercredi 21 et jeudi 22 au Super U de Combrit
    • Vendredi 23 et samedi 24 au Leclerc de Pont-l'Abbé

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  • La Chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère (CMA) et la Communauté de communes du Pays Bigouden Sud (CCPBS) organisent une opération exceptionnelle de collecte de déchets toxiques à domicile, à des tarifs négociés très avantageux, pour les professionnels.

    L'activité industrielle, artisanale ou commerciale génère des déchets toxiques tels que des solvants usagers, des résidus de peinture, de colles, etc.
    Les professionnels sont responsables de leurs déchets et de leur élimination. Les produits dangereux ne peuvent pas être éliminés par la filière classique à cause du risque potentiel de pollution qu'ils génèrent. Les professionnels doivent faire appel à des filières spécifiques d'élimination.

    La CMA du Finistère et la CCPBS engagées dans différents programme environnementaux proposent aux professionnels une opération de collecte unique à des tarifs négociés. L'entreprise retenue pour éliminer les déchets se déplace chez le professionnel pour enlever puis éliminer ses déchets dangereux.
    Le professionnel bénéficie :
    • D'une solution règlementaire avec remise d'un bordereau de suivi de ses déchets dangereux pour justifier de la bonne élimination
    • De tarifs négociés alliés à une subvention de l'agence de l'eau Loire Bretagne (0,90 € TTC/Kg pour des restes de peinture ; 0,76 € TTC / Kg pour des restes liquides de solvants ou diluants, etc.).
    • Un traitement adapté des déchets
    • Un gain de temps grâce au traitement à domicile

    Informations pratiques
    Pour bénéficier de cette opération, les professionnels doivent contacter la Chambre des métiers avant le 26 octobre 2012
    Contact : Fanny LE LOUET – CRMA Bretagne 22440 Ploufragan
    Tél. : 02 96 76 27 17
    Adresse électronique : lelouet.ser-crm@orange.fr

    in "Bigouden Tv"

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  • À l'inverse de la taxe actuelle, payée par tous, la tarification incitative prévoit de faire payer le coût des déchets au prorata de la production du contribuable. Une étude va être lancée par la CCPBS dans le courant de l'année.

    C'est une petite phrase passée presque inaperçue dans le discours des voeux du président de la CCPBS, Jean-Paul Stanzel, vendredi soir à Treffiagat. Mais une phrase qui dessine ce que pourrait être l'avenir, à moyen terme, la facturation du ramassage des ordures. Ainsi, au moment d'évoquer les perspectives 2012 de la filière déchets, Jean-Paul Stanzel a expliqué qu'une «étude sur la tarification incitative pour répondre aux exigences du Grenelle de l'environnement et adapter la facturation du service aux quantités produites» serait lancée. En clair, la collectivité va se pencher sur la faisabilité de cette tarification incitative. À l'inverse de la taxe, payée par tous, il s'agirait de faire payer le contribuable au prorata de sa production de déchets. Cette tarification a déjà été adoptée par d'autres collectivités, mais sa mise en place s'est souvent heurtée à l'opposition.

    Prendre le temps

    Évoquée au sein même de la CCPBS au cours de ces derniers mois, la tarification incitative soulève d'ores et déjà les interrogations. Notamment de la part des communes fortement touristiques, où personne ne voit finalement d'un mauvais oeil le fait que les propriétaires de résidences secondaires (qui produisent donc peu de déchets) s'acquittent aujourd'hui des mêmes impôts que les résidents permanents. «En fait, il n'y a rien de fait, tempère la CCPBS. Cette année, on bénéficie de pas mal d'aides, notamment de la part de l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, NDLR). Et on sait que dans deux, trois, ou quatre ans, on sera obligé de lancer cette étude. Donc, autant le faire maintenant qu'on a les fonds et l'argent, plutôt que de faire les choses au dernier moment». Rien qu'une étude, donc, «qui n'engage à rien, et on attendra de voir vraiment ce qu'il en sort, on prendra le temps de réfléchir à cette éventuelle évolution».

    Nouvelle déchèterie

    Alors que la CCPBS s'est dotée de nouvelles compétences, la filière déchets reste un des axes majeurs de l'action de la structure. Avec des motifs de satisfaction affichés. «Le programme de prévention des déchets continue à porter ses fruits, a expliqué Jean-Paul Stanzel, puisque le tonnage des ordures ménagères est encore une fois à la baisse. Le service continue de se moderniser, de se rationaliser et de s'adapter aux nouvelles demandes et nouvelles normes. Nous avons par exemple installé de nouvelles colonnes semi-enterrées et mis en place deux collectes d'amiante». 2012 devrait également voir - enfin - la réparation du tube de préfermentation et la remise en marche de l'usine de Lézinadou en avril. De même, seront lancés les travaux de modernisation du réseau de déchèteries, avec l'installation d'un quatrième équipement, à Pont-l'Abbé.

    • Marc Revel "Le Télégrammeé"
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