• Conseil : compte-rendu 12/09/2013

    Le conseil de communauté s’est réuni salle polyvalente Combrit, le jeudi 12 septembre 2013 à 18 h 30.

    Ordre du jour
    • Construction du stade – Avenants
    • Maîtrise d’oeuvre des travaux de Bringall – Avenant
    • Adduction d’eau potable, convention pour les réseaux d’eau potables réalisés sous maîtrise d’ouvrage privée en vue de leur raccordement au réseau public
    • Adduction d’eau potable à Kerfriant, convention de maîtrise d’ouvrage déléguée avec la commune de Loctudy
    • Zone communautaire d’activités de Prat Gouzien, acquisition de terrain
    • AquaSud, complément de tarification
    • Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères, exonération des personnes / entreprises assujetties à la redevance spéciale
    • Nouvelle modification des statuts du SDEF

    Compte-rendu du conseil communautaire du 12 septembre 2013 [pdf - 322.68 Ko]

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  • COMPOSITION DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE CCPBS

    CONSEIL MUNICIPAL DU 26 juin 2013

    COMPOSITION DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE


    Monsieur le Maire rappelle qu’en application des statuts approuvés par arrêté préfectoral du 28 décembre 1993, le conseil communautaire compte aujourd’hui 46 conseillers titulaires et 12 conseillers suppléants (1 par commune).


    La loi du 16 décembre 2010, complétée le 31 décembre 2012, modifie la composition des conseils communautaires ; le nouvel article L 5211-6-1 du Code Général des Collectivités Territoriales dispose que «le nombre et la répartition des délégués sont établis :
    soit, dans les communautés de communes et les communautés d'agglomération, par accord des deux tiers au moins des conseils municipaux des communes intéressées représentant la moitié de la population totale de celles-ci ou de la moitié des conseils municipaux des communes intéressées représentant les deux tiers de la population totale. Cette répartition tient compte de la population de chaque commune. Chaque commune dispose d'au moins un siège et aucune commune ne peut disposer de plus de la moitié des sièges. Le nombre de sièges total ne peut excéder de plus de 25 % le nombre de sièges qui serait attribué en application des III et IV du présent article ;
    soit selon les modalités prévues aux II à VI du présent article », soit sur la base d’un accord local.


    En application de cet article, la communauté de communes du pays bigouden sud – dont la population INSEE est de 37.369 au 1er janvier 2013 – aurait un conseil fixé « de droit » à 34 conseillers, chiffre pouvant être porté à 36 afin de permettre à toutes les communes d’élire au moins un délégué au conseil de communauté.


    Cependant, un accord local permettrait de porter le nombre de conseillers communautaires à 45 (composition de droit + 25%). Une proposition examinée en bureau communautaire a été soumise au conseil de communauté concernant le nombre de conseillers et la répartition des sièges.


    Elle tient compte de 2 critères :
    1. La solidarité qui permet à chaque commune, grande ou petite, d’être représentée par 2 conseillers, soit 24 membres
    2. L’importance de la population pour l’attribution des 21 sièges restants en tenant compte de strates démographiques au-delà de 2.000 habitants.
    La désignation de suppléants n’est plus possible, chaque commune ayant au moins 2 délégués.


    Le Conseil Municipal, après avoir délibéré, approuve à l’unanimité :
    la composition du conseil communautaire à quarante-cinq membres
    la répartition des sièges telle qu’elle figure en annexe de la présente délibération

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  • Conseil : compte-rendu 20/06/2013

    Le conseil de communauté s’est réuni salle polyvalente de Saint-Jean Trolimon, le jeudi 20 juin 2013 à 18 h 30.

    Ordre du jour
    • Convention avec Foncier de Bretagne
    • Baux relatifs au commerce de Tréméoc et au logement attenant
    • Assujettissement à la TVA du budget du portage de repas au 1er janvier 2013
    • Modification du tableau des effectifs communautaires
    • Rapport annuel sur l’eau
    • Rapport annuel sur les déchets
    • Liaison L.G.V.

    Compte-rendu du conseil communautaire du 20 juin 2013 [pdf - 205.21 Ko]

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  • CCPBS : Conseil du 9 décembre 2012- ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE BRETAGNE, TAXE SPÉCIALE D’ÉQUIPEMENT

    ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE BRETAGNE, TAXE SPÉCIALE D’ÉQUIPEMENT

    M. GAONAC’H vice Président rappelle au conseil les conditions dans lesquelles a été créé
    l’établissement public foncier de Bretagne, ses missions, son mode de fonctionnement, ses
    ressources parmi lesquelles la taxe spéciale d’équipement.
    M. PIETE observe que M. GAONAC’H a « anesthésié l’assemblée comme une anesthésiste
    endort son patient ». Il tient à rappeler les termes de la délibération d’octobre 2006 où le projet
    de création d’Etablissement Public Foncier avait fait l’objet de quelques critiques concernant en
    particulier l’absence de liberté des EPCI de décider ou non de l’adhésion et surtout de voir un
    prélèvement fiscal supplémentaire. Il note qu’un obstacle a été levé, celui de la représentation des
    communautés de communes au conseil d’administration de l’E.P.F.
    Le Maire de LOCTUDY a calculé ce que représenterait cette taxe spéciale d’équipement pour
    l’ensemble des contribuables d’une commune :
    COMBRIT : 24.000 € ; GUILVINEC : 19.000 € ; ILE TUDY : 10.000 € ; LOCTUDY : 34.000 € ; PENMARC’H :
    36.500 € ; PLOBANNALEC‐LESCONIL : 20.000 € ; PLOMEUR : 15.000 € ; PONT‐L’ABBE : 41.000 € ;
    SAINT‐JEAN‐TROLIMON : 4.000 € ; TREFFIAGAT : 13.000 € ; TREGUENNEC : 1.640 € et TREMEOC :
    4.500 €, soit une somme de 280.000 € pour l’ensemble du Pays Bigouden Sud en incluant la C.F.E..

    « Quelle garantie avons‐nous de voir cette somme investie dans nos communes ? ». Le maire de
    LOCTUDY relève que les objectifs de l’EPF seront « difficiles à mettre en place », en outre, ils
    « relèvent d’autres politiques ». Il en est ainsi de la réduction de la consommation d’espace qui
    figure aussi dans les orientations du SCoT ; des logements sociaux pour lesquels « nous avons
    du mal à trouver des locataires qui ont un travail à proximité » ; du gros volet sur les espaces
    naturels alors qu’il y a déjà une taxe qui s’en occupe, la taxe départementale sur les espaces
    naturels sensibles. M. PIETE fait remarquer que cette taxe représente, pour sa commune, en
    2008 un « racket de 38.000 € . « Où est le retour sur investissement du Conseil Général ? »
    Le maire de LOCTUDY n’est pas certain que l’E.P.F. fasse mieux.
    Il interroge ses collègues sur la volonté de voir leur droit de préemption transféré à l’E.P.F. , de
    cesser toute collaboration avec la SAFER pour les espaces ruraux alors que ce partenariat est
    intéressant. Le vice Président évoque le cas d’un terrain situé sur le périmètre de protection mis
    en vente à un prix exorbitant et retiré ensuite de la vente suite à l’intervention de la SAFER.
    « Nous avons tous les outils pour des coûts bien moindres ; pourquoi faut‐il créer une
    administration nouvelle à RENNES dont les effectifs vont croître bientôt. Je ne suis pas
    favorable à un nouvel impôt, en plus de l’augmentation de 10% de la taxe de séjour qui nous est
    imposée par le département ».
    En ce qui concerne le retour sur investissement, M. STANZEL remarque qu’on peut appliquer le
    même raisonnement à l’impôt sur le revenu.
    Pour le Président, la collectivité n’a pas vraiment de choix ; la zone littorale constitue une zone
    de renchérissement du foncier sur laquelle il faut agir. Pour qu’il y ait le retour sur
    investissement souhaité « il faut qu’il y ait des projets ». Le Président indique que la commune
    de l’ILE TUDY a ainsi sollicité l’EPF pour une petite opération sur du logement social.
    Concernant le droit de préemption, M. GLOAGUEN est bien conscient que les Maires ne veulent
    pas déléguer leur droit de préemption mais ils peuvent le faire opération par opération. Pour le
    projet prévu sur sa commune, le conseil municipal a prévu de le confier à l’EPF. « je pense que
    ce mode de fonctionnement peut rendre service aux petites collectivités dès lors qu’il s’agit par
    exemple de négocier avec une famille de la commune ».
    Le Maire de l’ILE TUDY note que 19,3 M€ pour la Région, cela représente quelque chose. Il
    espère qu’ensuite les taux seront revus à la baisse car l’EPF reconstitue ses fonds au fur et à
    mesure des remboursements.
    Mme ZAMUNER : « en attendant, on emprunte chez les contribuables ».
    Mme TANGUY approuve les propos de Mme ZAMUNER. Elle convient de la nécessité pour les
    communes de maîtriser le foncier alors qu’une hausse de la population est annoncée. « nous
    devrons nous adapter ». « On nous demande aujourd’hui d’utiliser un intermédiaire pour
    préempter ; l’EPF va remplacer la banque, les contribuables seront les banquiers ». Mme le
    Maire du GUILVINEC souligne que sa « commune ne va pas bien au regard des moyens revenus
    de la population» ; dans ces conditions, un impôt nouveau est difficile à supporter.

    Mme TANGUY souhaite une baisse de la contribution communautaire équivalente aux 280.000
    € qui seront prélevés sur le territoire.
    Pour M. COUÏC, il faut « mesurer ce que cela signifie » ; chacun sait que sur le territoire littoral,
    on subit une forte pression foncière. On s’en rend compte tous. J’ai le sentiment que l’adhésion
    présente des avantages notamment au niveau de la force de négociation qui est une nécessité dans
    les zones sous tension comme la nôtre. Notre réflexion ne doit pas « se limiter à ce que combien ça
    coûte… à combien cela apportera à nos collectivités dans le temps ». Il n’y a « pas que le PLU pour
    maîtriser le foncier » ; cela ne suffira pas. Constituer des réserves foncières est une « clé de
    l’aménagement du territoire » et plusieurs communes n’ont pas les moyens financiers pour le faire.
    Pour le Maire de PONT‐L’ABBE, « préempter c’est dépenser de l’argent qui dort « ; l’E.P.F. dégage
    « des disponibilités pour que cela pèse moins sur nos collectivités ».
    Mme TANGUY convient que « le portage peut aider une commune » mais il ne faut pas oublier que
    celle‐ci doit rembourser, avec des frais. Le Maire du GUILVINEC « préfèrerait « un pot commun au
    niveau de la communauté de communes » qu’on pourrait gérer entre nous. « Les besoins sont très
    importants sur les grands milieux urbains. Quelle chance avons‐nous d’un retour ici ? Sans doute de
    petites bricoles mais sans doute pas à hauteur des 3 millions d’€uros qu’on versera sur 10 ans ».
    M. LE DREAU approuve les propos de Mme TANGUY ; il observe que les communes connaissent
    mieux leur territoire et sont mieux placées pour acheter. Constituer un pot commun est peut‐être
    une bonne idée alors qu’on parle de nouvelles compétences.
    Chacun ayant pû s’exprimer, le Président propose de voter sur la question suivante : « le Conseil de
    communauté approuve‐t‐il la mise en place de la TSE au profit de l’établissement public foncier de
    Bretagne ? ».
    M. PIETE demande un vote à bulletins secrets. Le Président accepte et fait distribuer des bulletins
    blancs pour que chacun puisse y noter son choix.
    Le dépouillement des bulletins est le suivant :
    Nombre de bulletins trouvés dans l’urne : 46
    Bulletins blancs 5
    Suffrages exprimés 41
    Pour 22
    Contre 19
    Le Président fait part de son irritation sur la réforme de la taxe professionnelle ; il relève que les
    collectivités n’ont qu’une faible marge : « on ne récupère pas tout puisqu’il y a une péréquation vers
    les bassins industriels ».
    Mme TANGUY revient sur sa proposition de voir la TSE prélevée sur le budget communautaire. Le
    Président s’interroge sur un système qui verrait la communauté de communes supporter les
    dépenses et les recettes aux communes.

    Il remercie certains élus qui, en proposant la communautarisation de la taxe, conviennent de la
    nécessité d’une politique foncière communautaire. M. COUIC ajoute : « maintenant on sait que vous
    êtes favorable à une mutualisation de la maîtrise foncière ».

     

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  • Conseil : compte-rendu 07/11/2013

    Le conseil de communauté s’est réuni salle polyvalente de l’Ile-Tudy, le jeudi 7 novembre 2013 à 18 h 30.

    Ordre du jour
    • ADMINISTRATION GÉNÉRALE, FINANCES
      • Projet de construction du siège de la communauté de communes
      • Personnel : modification du tableau des effectifs
      • Médecine du travail, adhésion au service proposé par le CDG29
      • Position du conseil sur la demande de la ville de Concarneau : désaffiliation du CDG29
      • Décisions modificatives (Budget principal, eau et portage de repas)
    • AMÉNAGEMENT DE L’ESPACE
      • Programme Local de l’Habitat, programme d’actions
    • DÉVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET TOURISTIQUE
      • Tronoën, site touristique d’intérêt communautaire
    • EAU
      • Révision du prix de l’eau
      • Avenants aux conventions de vente d’eau en gros aux communes de BENODET et de PLONEOUR-LANVERN
    •  DÉCHETS
      • Acquisition du terrain nécessaire à l’extension et à la mise aux normes de la déchèterie de Lezinadou
      • Avenant au contrat de territoire concernant les travaux de modernisation de l’unité de compostage de Lezinadou
      • Révision des conventions pour le traitement des lixiviats
    • EQUIPEMENTS SPORTIFS
      • Révision du Plan d’Organisation de la Surveillance et des Secours d’AquaSud
      • Avenants à la construction du stade
    • PARTENARIATS
      • Révision des statuts du Syndicat Mixte Départemental pour Elimination des Déchets

    Compte-rendu du conseil communautaire du 7 novembre 2013 [pdf - 715.68 Ko]

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