• Type : Revue/bulletin
    • Date de parution : 2014
    • Éditeurs : SOeS
    • Collection : Le point sur, n° 180 (janvier 2014)
    • Nombre de pages : 4 pages

    Il y est expliqué qu’aujourd’hui, de lourds développements d’algues touchent les secteurs côtiers. La prolifération concerne deux types d’algues : les macroalgues, qui produisent des marées vertes et les algues microscopiques (ou phytoplancton), qui provoquent des eaux colorées.
    Le document montre que les algues vertes sont surtout sur les côtes bretonnes et touchent de plus en plus le Centre-Atlantique et la Basse-Normandie. Les algues microscopiques sont présentes des Flandres au bassin d’Arcachon mais également dans les lagunes de Méditerranée. Cette prolifération peut être néfaste du fait de la libération de toxines par les microalgues. La santé, l’économie ou la biodiversité peuvent ainsi être impactées directement.

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  • La rivière de Pont L'Abbé : site pilote de la GIZC

    Site naturel d’une richesse exceptionnelle, la rivière de Pont L’Abbé n’en demeure pas moins convoitée par de nombreux usages (pêche à pied, conchyliculture, plaisance, etc…). Pendant près de 3 mois, Sophie THOMAS, stagiaire au SIOCA, a rencontré près d’une cinquantaine de personnes et a ainsi pu recueillir des témoignages riches, évoquant les problématiques, mais également les pistes d’actions, freins et leviers, pour une exploitation durable du site et de ses ressources. Ce diagnostic partagé a notamment permis de mettre en évidence la nécessaire évolution des modes de gouvernance sur ce site prisé et géographiquement restreint.

    Cette étude a été restitué le 17 octobre 2013, à l'Ile Tudy.

    Consulter la synthèse du rapport "Rivière de Pont L'Abbé : site pilote de la GIZC - Vers un partage de l'espace et de ses ressources". 

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  • La rivière de Pont L'Abbé : site pilote de la GIZC

    Site naturel d’une richesse exceptionnelle, la rivière de Pont L’Abbé n’en demeure pas moins convoitée par de nombreux usages (pêche à pied, conchyliculture, plaisance, etc…). Pendant près de 3 mois, Sophie THOMAS, stagiaire au SIOCA, a rencontré près d’une cinquantaine de personnes et a ainsi pu recueillir des témoignages riches, évoquant les problématiques, mais également les pistes d’actions, freins et leviers, pour une exploitation durable du site et de ses ressources. Ce diagnostic partagé a notamment permis de mettre en évidence la nécessaire évolution des modes de gouvernance sur ce site prisé et géographiquement restreint.

    Cette étude a été restitué le 17 octobre 2013, à l'Ile Tudy.

    Consulter la synthèse du rapport "Rivière de Pont L'Abbé : site pilote de la GIZC - Vers un partage de l'espace et de ses ressources". 

     

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  • Stratégie de gestion des aires marines protégées

    Télécharger « 13148-brochure-resume-strategie-aires-marines_A4_def_WEB.pdf »

    En mars 2012, l’Etat a adopté une stratégie pour la création et la gestion des aires marines protégées (AMP), des espaces délimités en mer au sein desquels un objectif de protection de la nature à long terme a été défini. L’élaboration de cette stratégie a mobilisé un groupe de travail constitué autour du conseil d’administration de l’Agence des aires marines protégées. Ce groupe, d’une cinquantaine de membres, regroupait des représentants de l’État, des collectivités, des secteurs économiques concernés, des organismes de recherche ou encore des organisations de protection de l’environnement.

    Le Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie (MEDDE) publie aujourd’hui une synthèse accessible sur cette stratégie. Le document fait un bilan du réseau des aires marines protégées en métropole et en outre-mer en 2013. De plus, il définit la manière dont la France compte faire évoluer ses activités pour développer et gérer efficacement le réseau d’AMP, en précisant notamment les différents objectifs et les priorités géographiques.

    Sur le site du MEDDE : Télécharger la synthèse sur la stratégie de gestion des AMP


    Sur le site glossaire les mots-clefs sur ce sujet : Zone protégée ;

    Sur le Portail des documents techniques sur l’eau  : Consulter tous les documents produits sur ce thème via la recherche textuelle  => www.documentation.eaufrance.fr

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  • Sophie Thomas a mené son enquête pendant un stage de 3 mois au Sioca.

    La réunion de restitution de l'étude « Rivière de Pont-l'Abbé : site pilote de la Gestion intégrée des zones côtières (GIZC), partage de l'espace et de ses ressources », a été assurée par Sophie Thomas, jeudi soir, à la salle polyvalente.

    Une trentaine de personnes, des élus des quatre communes limitrophes, des représentants du monde la pêche, de la conchyliculture et des associations de pêcheurs plaisanciers et de défense de l'environnement étaient présents.

    Cinquante témoignages

    Leslie Coïc, chargée de mission auprès du syndicat intercommunautaire Ouest Cornouille aménagement (Sioca) a rappelé l'historique de cet appel à projets de l'État et de la région Bretagne au Sioca. « La zone côtière est un espace fragile et convoité. La concentration des usages et des activités nécessite une approche transversale et concertée. De ce fait, explique Leslie Coïc, quelles actions entreprendre pour faire de la vocation maritime un levier majeur de développement ? »

    Sophie Thomas, dans la méthodologie qu'elle a développée, s'est efforcée d'écouter tous les acteurs, professionnels comme usagers. Au final, 50 témoignages ont été recueillis et sept grands thèmes identifiés : la pêche à pied professionnelle, le tourisme, le nautisme, le milieu (eau et sédiment), la conchyliculture, la pêche à pied récréative et l'activité randonnée et chasse.

    Son étude minutieuse a permis de dégager trois enjeux transversaux, toutes thématiques confondues : la préservation du milieu et de ses ressources, le développement et la pérennisation des activités et l'amélioration de la gouvernance.

    Pour chacun de ces enjeux, les problématiques et des pistes d'actions ont été dégagées. « À long terme, estime Leslie Coïc, garantir la richesse exceptionnelle de cet estuaire passera par une instance de gouvernance locale spécifique associant tous les acteurs de la rivière, mais aussi par la préservation de la qualité de l'eau, la limitation du phénomène d'envasement, l'anticipation des risques d'érosion et de submersion, ainsi que le développement des activités de rivière et la garantie d'une pérennité des exploitations ».

    La synthèse de l'étude sera prochainement disponible sur le site du Sioca.

    in "Ouest France"

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  • Pêcheurs à pied. L'Ouest Cornouaille va les compter

    Mieux connaître la pêche récréative, c'est l'objectif que s'est notamment fixé le Sioca. Une campagne de comptage afin d'évaluer la fréquentation des sites lors des grandes marées sera lancée dès samedi. Idéal en période de vacances, avec un coefficient de marée de 105.

    Dans le cadre de la gestion intégrée des zones côtières, le Syndicat intercommunautaire Ouest-Cornouaille aménagement (Sioca), a décidé de lancer une campagne de comptage pour évaluer la fréquentation des sites de pêche à pied récréative lors des grandes marées. C'est ce qu'a expliqué Leslie Coïc, chargée de mission, lors d'une réunion de travail qui s'est tenue mardi matin, à la mairie de Plonéour-Lanvern. Loin d'attirer la foule, cette réunion ouverte à tous a cependant rassemblé quelques chargés de mission, notamment de la communauté de communes du Pays bigouden sud qui a désormais en charge la gestion de ses zones côtières, des représentants des pêcheurs-plaisanciers et de l'Association pour la sauvegarde de la rivière de Pont-l'Abbé et de ses environs (Asripe). Les secteurs de la baie de Douarnenez et du Cap-Sizun n'étaient, en revanche, pas représentés.

    Des suivis ponctuels

    Suivant un exemple de diagnostic réalisé dans la baie de Morlaix, la méthode la plus adaptée à un premier diagnostic serait des suivis ponctuels. Pour l'instant, des survols aériens ont été réalisés en 2009 et en 2010 sur la zone Ouest-Cornouaille pendant des grandes marées. En 2012 également, avec des jumelles depuis le phare d'Eckmühl, pour observer la fréquentation sur les rochers de Penmarc'h-Kérity. Lors des grandes marées de septembre 2012, environ 700 pêcheurs à pied ont été dénombrés sur les différents sites de la rivière de Pont-l'Abbé, dont 300 sur la pointe de l'île Chevalier. Pour commencer cette première campagne de comptage, trois sites ont été retenus : les plateaux rocheux de Penmarc'h - où se retrouvent de nombreux amateurs d'ormeaux et d'étrilles - la rivière de Pont-l'Abbé et la grève du Ster. Samedi, alors que le coefficient de marée est de 105 et que nous seront en pleine période de vacances scolaires, la fréquentation devrait battre son plein, même si cela dépendra aussi des conditions météo. Des bénévoles seront répartis sur les différents sites équipés de jumelles, carte et carnet de notes. Des comptages sont également prévus lors des grandes marées de mai et juin. Un nouveau point sera réalisé, après l'été, par le Sioca.

    Attention aux contrôles

    En plus de rappeler des règles de sécurité en matière de pêche à pied, il est question de réglementation mais avant tout de prévention. Mieux vaut cependant se munir d'un outil de mesure car pour le non-respest des tailles réglementaires des espèces ou les limitations journalières de capture, les amendes sont souvent très salées ! Lors des dernières grandes marées, 450 contôles auraient été effectués et un très grand nombre de PV délivrés à l'encontre de pêcheurs d'ormeaux.

    Pratique
    « Le guide des bonnes pratiques » de la Fédération nationale des pêcheurs plaisanciers et sportifs de France (FNPPSF) est disponible dans les mairies et offices de tourisme. Gratuit.

    • Catherine Merrer "Le Télégramme"
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  • La Région épaule la démarche “Mer de Cornouaille”

    Le vice-président de la Région chargé de l’Europe, de la mer et du littoral, Pierre Karleskind, a participé, le mardi 19 mars, au premier comité de pilotage de la démarche “Mer de Cornouaille”, portée par l’agence Quimper Cornouaille Développement. L’occasion, pour la Région, de rappeler son ambition maritime pour la Bretagne et pour le Pays de Cornouaille en particulier.

    Retenue en 2012 dans le cadre de l’appel à projets lancé par la Région et soutenue, à ce titre, à hauteur de 200 000 €, la démarche Mer de Cornouaille est ambitieuse. La volonté de Quimper Cornouaille Développement est d’accompagner les élus locaux afin qu’ils inscrivent l’espace marin dans leur stratégie d’aménagement du territoire, notamment dans chacun des cinq SCoT (Schéma de COhérence Territoriale) couvrant le pays.

    Par une meilleure connaissance des ressources, activités et usages, l’objectif de la démarche est de repérer des potentialités de développement et de valorisation de l’espace maritime, pour faire émerger des projets durables.

    Onze démarches de GIZC soutenues par la Région Bretagne

    Si la Région n’a pas de compétence spécifique en matière de gestion de la zone côtière, elle a conscience des atouts que représente cet espace maritime pour son présent et son avenir. Afin d’allier développement économique, qualité de vie et préservation de son environnement, tout en réduisant les conflits d’usages (pêche, biotechnologies marines, tourisme, loisirs…), la collectivité a voulu contribuer à la mise en œuvre d’une gestion intégrée de la zone côtière.

    À travers sa Charte des espaces côtiers bretons, véritable stratégie régionale, elle a défini l’ensemble des enjeux, les principales menaces et les leviers d’actions pour construire une vision commune de l’avenir du littoral breton. Plus de 130 partenaires (associations, collectivités, professionnels…) l’ont déjà adoptée, car la volonté de la Région est bien de mobiliser et de faire collaborer l’ensemble des acteurs autour d’un projet de développement durable de la mer et du littoral en Bretagne.

    Pour concrétiser cette ambition, elle a souhaité impulser une dynamique régionale en lançant, successivement, deux appels à projets en 2011 et 2012. Elle soutient ainsi 11 démarches -telles que celle de Quimper Cornouaille Développement- auxquelles elle apporte une aide totale de 2,7 M€.

    La Région veut ainsi constituer un réseau de territoires capables de mettre en œuvre localement une gestion intégrée, qui doit devenir la norme en matière d’action publique. C’est en ce sens qu’elle accompagne le pays de Cornouaille et soutient son projet pour que cette démarche de GIZC soit un succès et aboutisse à l’émergence d’un véritable pays maritime.

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