• Treustel Combrit

    Treustel Combrit

    Treustel Combrit 4 novembre 2013 Marée de 101

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  •  Suivis sanitaires & pêche à pied récréative en Bretagne

     

    Ce site Internet informe sur l'état des sites de pêche à pied récréative en Bretagne et les alertes sanitaires. Il présente la réglementation, des conseils et informations et les suivis sanitaires. Il revient sur les types de contamination et le risque microbiologique.

     

     

     

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  • Coup de projecteur sur les amphibiens en Bretagne 

    Après le saumon et l’anguille, l’association Eau et rivières de Bretagne a choisi cette année de mettre à l’honneur les amphibiens. Ces espèces fréquentent des milieux très variés allant de la forêt aux diverses zones humides… et même les jardins en ville. Malgré des mesures de protection, les amphibiens sont plus ou moins menacés par la destruction de leurs habitats, des pollutions, l’introduction d’espèces invasives, etc.

    Avec Le temps des grenouilles & Co, Eau et rivières propose des expositions, des conférences et des animations pour apprendre à les connaître. L’association en profite pour présenter le grand recensement des zones de mortalité routière des amphibiens et lance un appel à participation.

    En savoir plus :

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  • Les passagers d'un ferry reliant l'ile Galiano à Tsawwassen, une banlieue de Vancouver, au Canada, ont pu observer jeudi un gigantesque banc de dauphins accompagner leur bateau.

    S'il est courant pour les dauphins à flanc blanc de se déplacer en grands groupes de près de mille individus, il est en revanche nettement plus rare de les observer si près des côtes, à quelques kilomètres seulement de la grande ville de Vancouver.


    Un gigantesque banc de dauphins accompagne un... par lemondefr

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  • Gwen Pennarun, 50 ans, adjoint aux affaires portuaires, ligneur depuis 30 ans à Sainte-Marine.

    Gwen Pennarun fait partie des sept Français investis dans la future association. Leur but : faire entendre les intérêts de la petite pêche et peser sur les décisions de Bruxelles.

    « On n'est nulle part. On a été écarté des instances, on n'est plus écouté. Aujourd'hui, les gros navires viennent pêcher dans la bande côtière au détriment de la ressource. Demain, lorsque tout sera pillé, ils pourront retourner pêcher au large. Pas nous. »

    Président de l'Association des bars de ligne de Bretagne (120 bateaux), Gwen Pennarun, ligneur à Sainte-Marine depuis 30 ans, est investi depuis un an, avec six autres pêcheurs français, dans la création d'une plateforme européenne de la petite pêche artisanale. L'association, qui va bientôt voir le jour, représentera et défendra les intérêts de la petite pêche durable. Celle qui préserve la ressource. Celle que pratiquent les bateaux de moins de 12 mètres, le plus souvent polyvalents, dans la bande côtière des 12 milles, dont les marées ne dépassent pas 12 heures. Coquilliers, fileyeurs, ligneurs...

    80 % de la flottille

    « Par son aspect durable, la petite pêche devrait être portée. Ce n'est pas le cas aujourd'hui. Les subventions vont vers le soutien ou la création d'engins de plus en plus performants au détriment de la ressource », regrette-t-il. Gwen Pennarun illustre ses propos par deux exemples. La senne danoise « démesurée » et la pêche électrique, qui empêche le poisson de fuir devant le chalut.

    « Nos petits métiers ont plusieurs raisons d'exister. En dehors du respect de la ressource, nous représentons 80 % de la flottille et 60 % des marins. Si tout le monde pêchait comme nous, il n'y aurait pas de problème. C'est impossible, mais il faut prendre cet aspect en compte », défend Gwen Pennarun, qui voit les stocks de bar baisser depuis 7 à 8 ans. « Aujourd'hui, sans les appareils électroniques, on serait à la ramasse. Il faut travailler davantage pour faire le même volume qu'avant. »

    Neuf pays

    Les petits côtiers ne sont-ils plus défendus par les comités des pêches ? « C'est fini. Depuis la disparition du Comité local des pêches du Guilvinec, le contact est perdu avec les marins. Avant, on réglait les problèmes autour d'une table. On était informé. Et écouté. Nos nouveaux représentants ne sont plus soucieux de nos métiers. »

    Mise en place sous l'impulsion et avec l'aide logistique de Greenpeace, l'association s'engage à devenir complètement autonome après sa création.

    Des représentants de neuf pays y sont engagés : la France, l'Espagne, l'Allemagne, l'Angleterre, la Grèce, la Pologne, la Croatie, les Pays-Bas et l'Italie. « On s'est vite rendu compte qu'il était urgent d'agir au plan européen, puisque les décisions sont prises là-bas. On a constaté que dans tous les pays, la problématique des petits métiers face aux gros était la même. Les gros envahissent les instances représentatives et les zones côtières. On va défendre notre droit d'exister, la place à laquelle on a droit au vu de ce qu'on représente. On nous reproche d'avoir été portés par Greenpeace. Mais on n'a rien à perdre. »

    Corinne ARGENTINI. "Ouest France"

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