• Produire du bois d’œuvre dans le bocage

    Chambre d'agriculture d'Ille-et-Vilaine
    Produire du bois d’œuvre dans le bocage
    • Type : Brochure
    • Date de parution : 2015
    • Éditeurs : Chambre d'agriculture d'Ille-et-Vilaine
    • Nombre de pages : 20 pages

    Ce guide très complet s'intéresse aux pratiques sylvicoles pour produire du bois d’œuvre à partir des haies bocagères.

    Sommaire :

    • Le bocage producteur de bois
    • Comment pousse un arbre ?
    • Singularités et défauts du bois
    • Suivi des arbres
    • Diagnostic qualitatif des arbres
    • De l’arbre aux produits du bois
    • Utilisations du bois local
    • Les arbres du bocage

     

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  • Au début du printemps, le lierre offrait généreusement ses fruits aux merles et grives du parc au moment même où la majorité des plantes sont figées.

    Mais saviez-vous que la floraison a lieu en ce moment en début d'automne pour le grand bonheur des insectes pollinisateurs qui trouvent en cette fin de saison une ressource abondante en pollen et nectar. Le temps est propice. Observez bien vos lierres grimpants (Hedera helix) au fond du jardin ou dans les espaces verts, à coup sûr ils sont couverts de butineurs s'il y a du soleil !

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    On visualise parfaitement les étamines avec les anthères en jaune. Le pollen stocké aux pattes de l'abeille provient de là. Le nectar, lui, est aspiré dans le réceptacle où se trouvent les glandes nectatifères qui se couvrent de gouttelettes du divin liquide. Au centre de la fleur, on devine le stigmate qui mène tout droit à l'ovule qui donnera la graine au mois de février. Un cycle inversé par rapport à la majorité des plantes.

    C'est une aubaine pour nos abeilles qui manquent un peu de réserve de miel cette année,l'été ayant été trop pluvieux en Ile de France pour une production satisfaisante.

    Déjà, nous savons que nous allons devoir nourrir nos colonies pour qu'elles puissent affronter l'hiver et réapparaitre en février sauf si la miellée du lierre venait à rattraper le retard.

     

     

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  • Réserve naturelle de Saint-Nicolas des Glénan : la quarantaine épanouie

    Narcisse des GlénanNarcisse des Glénan

    C’est le moment idéal pour découvrir la réserve naturelle nationale de Saint-Nicolas des Glénan. Elle est fleurie de 150 000 pieds de narcisse des Glénan ! Le même narcisse, dont il ne restait que quelques centaines de pieds en 1974, et qui a motivé la création d’une réserve naturelle nationale. Car Saint-Nicolas des Glénan est l’unique station botanique de cette plante endémique. Son périmètre de protection s’étend sur près de 14 ha, gérés par l’association Bretagne Vivante.

    Pour fêter les 40 printemps de la réserve, l’association organise un concours photo jusqu’au 11 mai, des conférences sur ses enjeux patrimoniaux (flore, oiseaux, milieu marin, etc.) et une exposition sur l'évolution des paysages de l'archipel. Celle-ci sera visible en juillet et août dans les locaux du conseil général du Finistère (2 rue Théodore Le Hars à Quimper) et pendant l’automne sur la commune de Fouesnant.

    En savoir plus :

    http://www.bretagne-vivante.org

    Réserve naturelle de Saint-Nicolas des Glénan : la quarantaine épanouie

     

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  • Inventaire forestiers - Les résultats des campagnes d’inventaire 2008 à 2012

    Institut national de l'information géographique et forestière
    Inventaire forestiers - Les résultats des campagnes d’inventaire 2008 à 2012
    • Type : Rapport/étude
    • Date de parution : 2014
    • Éditeurs : Institut national de l'information géographique et forestière
    • Nombre de pages : 183 pages

    Ce document présente sous la forme de tableaux les données régionales et départementales de métropole suivantes :

    • Surface par occupation du sol
    • Les forêts
    • La surface forestière de production
    • La composition des peuplements
    • Le volume de bois sur pied
    • La production en volume
    • La surface terrière
    • Le nombre de tiges
    • Les données éco-floristiques
    • Le bois mort
    • Les landes
    • Les peupleraies.

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  • logo du portail

    Cette carte montre la répartition en Bretagne des stations botaniques de quelques espèces rares de la flore des dunes, à savoir les espèces suivantes : liparis de Loesel, pyrole à feuilles ronds, ophioglosse des Açores, ophrys sillonné ou ophrys brun, bourrache du littoral, diotis maritime, lotier pois, narcisse des Glénan, astragale de Bayonne et l'ivraie du Portugal.

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  • L’ambroisie, une plante néfaste pour la santé par l'ARS Bretagne

    L’ambroisie est une plante envahissante et dangereuse pour la santé qui doit, de préférence, être éliminée avant le démarrage de sa floraison. Comment lutter efficacement contre elle et limiter son expansion ?

    L'ambroisie à feuilles d'armoise (Ambrosia artemisiifolia L.) est une plante invasive dont le pollen émis en fin d’été est particulièrement allergisant. Il suffit de quelques grains de pollen par mètre cube d'air pour que les manifestations allergiques apparaissent chez les sujets sensibles, généralement en août-septembre. Les plus courantes sont des rhinites, des conjonctivites, ou des symptômes respiratoires tels que trachéite, toux et parfois urticaire ou eczéma.

    Dans 50% des cas, l’allergie à l’ambroisie peut entraîner l’apparition de l’asthme ou provoquer son aggravation. Selon la zone infestée par cette « mauvaise herbe » envahissante, 6 à 12 % de la population exposée serait allergique.

    De par son caractère envahissant, l‘ambroisie se développe dans toute l’Europe, avec de forts impacts sur la santé et l’agriculture. Pour éviter la production de pollen et limiter la reproduction et l’expansion de cette espèce, les plants d’ambroisie doivent être systématiquement détruits. Il est en effet possible d’éliminer l'ambroisie dès le mois de juin, quand elle est suffisamment développée pour être reconnaissable et avant le démarrage de sa floraison à la mi-juillet.

    Comment lutter contre l'ambroisie ?

    Suivant la taille de la surface infestée et le type de milieu concerné (surface agricole, bords de route, zone de chantier…), la destruction peut se faire par arrachage, tontes ou fauchages répétés menés sur les seules zones contaminées par l’ambroisie, ou par le déchaumage de parcelles de céréales envahies, ou d'autres techniques culturales appropriées. En dernier recours, la lutte chimique peut être utilisée de façon raisonnée, au moyen de produits homologués et en respectant les modes d’emploi.

    Au mois de juin, la pollinisation de l’ambroisie n’a pas débuté. Néanmoins, des gants de jardinage sont nécessaires en cas d’arrachage. Par précaution, les personnes allergiques et notamment les personnes très sensibles au pollen doivent s’abstenir de tout contact avec la plante, même non fleurie, car l’allergène est présent en quantité infinitésimale dans la sève.

    Les terrains ne doivent pas être laissés nus ou en friche, mais doivent être couverts systématiquement (couvert végétal dense à base d’herbacées et de légumineuses vivaces, protection du sol avec des matériaux bloquant le développement de la végétation tels que le paillage ou des copeaux de bois…). La durée de vie dans les sols des semences d’ambroisie étant de plusieurs années, les actions de lutte doivent être menées sur le long terme et être coordonnées.

    Comment reconnaître l'ambroisie ?

    Aux différents stades de son développement, l'ambroisie à feuilles d’armoise peut être confondue avec d'autres plantes (notamment avec l’armoise commune et l’armoise annuelle).

    Aussi, pour l’éliminer efficacement, il est nécessaire de bien la reconnaître :

    Ambroisie à feuilles d’armoise (© Observatoire des ambroisies) Armoise commune
    (© Fried)

     Armoise anniuelle
    (© Fried)

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