• La valorisation, l'élimination ou le traitement des boues et des sous produits de l'assainissement sont des enjeux importants en terme environnemental, financier et technique. La bonne gestion de ces produits est demandée par le plan départemental de prévention de gestion des déchets ménagés ou assimilés (PDPGDMA).

    Devenir des boues et des sous-produits de l'assanissement

     

    Le schéma départemental de gestion des boues et sous-produits de l'assainissement du Finistère à été validé en 2011.

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  • La valorisation, l'élimination ou le traitement des boues et des sous produits de l'assainissement sont des enjeux importants en terme environnemental, financier et technique. La bonne gestion de ces produits est demandée par le plan départemental de prévention de gestion des déchets ménagés ou assimilés (PDPGDMA).

    Devenir des boues et des sous-produits de l'assanissement

     

    Le schéma départemental de gestion des boues et sous-produits de l'assainissement du Finistère à été validé en 2011.

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  • L’assemblée générale de l’Union des associations de défense du littoral (UADL), qui s’est réunie samedi à Châteaulin (Finistère), a décerné ses bons et mauvais points aux communes du littoral Nord-Atlantique.

    Le Prix Citron a sanctionné deux communes finistériennes pour leurs actions et projets jugés néfastes à la protection des espaces littoraux par les membres de l’UADL.

    Fouesnant, pour des retards dans la réalisation du sentier littoral de Beg Meil et dans son plan local d’urbanisme (PLU) et schéma de cohésion territoriale (SCOT).

    Plouvien, pour ses travaux de chaudière à bois de la laiterie Sill et le transfert de 30 ha vers la commune de Tréglonou, jugé par l’UADL comme un moyen de se soustraire à la loi littoral.

    Le Prix Orange, après deux années blanches, faute de candidats, a été attribué à Yvette Doré, maire de Hillion, dans les Côtes-d’Armor, pour son combat mené contre l’implantation d’un camping illégal aux yeux de la loi littoral de 1976.

    in "Ouest-France"

    Environnement. Le Prix Citron pour Fouesnant et Plouvien

    Environnement. Le Prix Citron pour Fouesnant et Plouvien

    Plouvien : Cliquez pour agrandir 

    " Prix citron ou pas : notre point de vue...

    Evidemment nous apprécions le travail de l'UDAL comme ses prix "citron" et "orange" ; mais cela ne nous empêche pas de dire quand nous ne partageons pas leur choix. Autant nous approuvons le prix "citron" de Fouesnant pour le trop long feuilleton du sentier du littoral, autant nous ne partageons pas celui de Plouvien.

    Il n'est pas concevable de défendre la "Loi Littoral" comme nous le faisons et ne pas constaster son.. aberration dans le cas de Plouvien. Cela aboutit à interdire la construction d'une chaudière à bois pour la SILL et l'implantation d'éoliennes.

    C'est un comble pour une commun qui n'a rien de "littorale" et qui est totalement "rurale" si ce n'est pour quelques mètres de vase au débouché de deux ruisseaux. Les cartes ci-dessus sont très parlantes.

    En voulant céder à la commune voisine quelques arpents de terre pour échapper à une sanction imbécile, le maire ne mérite surement pas plus le prix "orange" que le prix "citron", mais peut être le prix de l'intelligence. Au moins il ne remet pas en cause les fondements de la "Loi littoral" à laquelle nous tenons tous.

    Poussons le raisonnement au bout : Combrit est une commune littorale (c'est pour le moins vrai), Clohars-Fouesnant l'est aussi au titre du décret n° 2004-311 du 29 mars 2004... mais ce n'est pas la cas de Plomelin, de Gouesnac'h, de Pleuven... de Quimper. Si Plouvien est une commune du littorale, que pensez de ces 4 communes avec eau salée, marées ? 

    La "loi littoral" s'applque à Combrit mais le sentier littoral officiel va du Pouldon à la pointe de Sainte Marine et après celà devient un sentier "fluvial" (!!!) : Sainte- Marine, le bord de l'Odet, l'anse de Combrit ? Clohars-Fouesnant est une commune où s'applique la "loi littoral" mais elle ne peut avoir de "sentier littoral" !! Pleuven avec l'anse de Saint Cadou et son prolongement dit "ruisseau de St Cadou" avec marée, eau salée ressemble à Plouvien... Alors quid de la future station d'épuration du Moulin du Pont sur la commune de Pleuven ? A vouloir trop prouver... "

    Pourquoi ne pas nous battre pour que la "loi littoral" s'applique à toutes les communes riveraines de la partie "mer" de l'Odet ?  Pourquoi ne pas se battre pour un "sentier littoral" de Sainte Marine à Bénodet en passant par Quimper ? Chiche ? "

    Environnement. Le Prix Citron pour Fouesnant et Plouvien

    Pleuven

    Cliquez pour agrandir

    Anse de Saint-Cadou Pleuven

    Anse de Saint Cadou

     
    Anse de Saint-Cadou

     

     

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  • Tariec, au fond de l'aber Benoît. L'effet des marées s'y fait sentir, mais la mer est à plusieurs kilomètres.

     Le petit bourg du Finistère envisage de céder quelques hectares de l'aber Benoît à son voisin, Tréglonou. La commune se libérerait ainsi des contraintes « littorales » qui freinent son développement économique.

     Une petite bande de terre boisée, nichée à l'extrême pointe de l'aber Benoît si cher aux peintres et à Jane Birkin. La commune de Plouvien, se passerait bien de son lieu-dit Tariec, peuplé de sternes et d'herbes folles. Aujourd'hui, Christian Calvez, le maire, se dit prêt à s'en débarrasser en cédant ces 30 ha de frange littorale à la commune voisine de Tréglonou. Dans le même temps, il dit au revoir à la qualification « commune littorale » et ses contraintes, qui pèsent si lourd sur l'activité économique de son bourg.

    La Sill bloquée

    Le poids lourd de Plouvien, c'est l'entreprise Sill et ses 250 salariés, sur les 900 que compte le groupe. La laiterie, qui s'est diversifiée dans plusieurs productions agroalimentaires comme les soupes ou les jus de fruits, risque de voir deux projets de développement stoppés net par la loi littoral. « La construction d'une chaufferie bois énergie, à quelques mètres des bâtiments existants, sur le plateau pourtant classé zone d'activité par la commune, risque d'être bloquée par le recours d'un seul riverain », déplore Christian Calvez.

    Un autre projet, une nouvelle tour de séchage pour répondre à des besoins croissants à l'export, est lui aussi stoppé. « En tout, 50 à 80 emplois sont en jeu. » Auxquels, il faut ajouter celui des 400 agriculteurs qui vendent leur production de lait à la Sill.

    Les éoliennes menacées

    Les ennuis arrivant souvent en série, l'affaire de la Sill suit de très près celle des huit éoliennes installées sur la commune en 2007. Les machines ont été récemment déclarées illégales par le Conseil d'État qui a confirmé un jugement de la cour administrative d'appel de Nantes. Motif : elles ne se situent pas « en continuité d'une agglomération ou d'un village existant » comme l'exige la loi pour toute nouvelle construction en zone littorale. C'est la même raison qui est invoquée pour la chaufferie.

    Christian Calvez a réfléchi : « Si la Sill ne peut pas se développer sur le plateau de Plouvien, elle risque de le faire ailleurs... » La modification des limites territoriales de la commune prend alors tout son sens. « C'est une décision difficile, convient le maire. Certains peuvent le vivre comme une amputation, mais il n'y a pas un seul habitant de Plouvien ou de Bourg-Blanc (autre site de la Sill) qui n'est pas concerné. La commune de Tréglonou est favorable. »

    Côté finances, c'est tout vu. Plouvien ne perdrait aucun habitant et une toute petite part de taxe foncière sur les propriétés non bâties. Une goutte d'eau par rapport aux enjeux économiques. La commune pourrait enfin voler de ses propres ailes. En tournant le dos à cette mer qui ne lui apporte que des ennuis.

    Sabine NICLOT-BARON. "Ourst-France"

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  • Jean Louis Masson , Sénateur
    Question écrite N° 1635 au Ministère de l'intérieur

    Question soumise le 23 août 2012

    Sa question écrite du 15 mars 2012 n'ayant pas obtenu de réponse sous la précédente législature, M. Jean Louis Masson rappelle à Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie le fait que les panneaux d'agglomération ont une valeur réglementaire au titre du code de la route. Dans le cas d'une commune qui indique un lieu-dit ou le nom du village, en utilisant uniquement une langue régionale et non le nom français de la localité, il lui demande si ledit panneau conserve sa valeur réglementaire pour la limitation de vitesse.

    Réponse émise le 29 novembre 2012

    Le code de la route définit l'agglomération comme un « espace sur lequel sont groupés des immeubles bâtis rapprochés et dont l'entrée et la sortie sont signalées par des panneaux placés à cet effet le long de la route... » (article R. 110-2). Il fixe, pour cet espace particulier, un certain nombre de règles de circulation, en particulier une vitesse maximale réglementaire de 50 km/h, que les usagers doivent respecter sur le territoire ainsi délimité.

    Ces panneaux d'entrée et de sortie d'agglomération sont décrits par l'arrêté du 24 novembre 1967 modifié relatif à la signalisation des routes et autoroutes : il s'agit des panneaux EB10 et EB20, de forme rectangulaire, à fond blanc avec une bordure rouge. Ces panneaux ne doivent pas être confondus avec les panneaux de localisation de lieux-dits, à fond noir, pour lesquels les dispositions du code de la route spécifiques aux agglomérations ne s'appliquent pas. Leurs composition et modalités d'implantation sont précisées par l'instruction interministérielle sur la signalisation routière (arrêté du 7 juin 1977 modifié), dont l'article 14-1 interdit l'emploi de signaux non conformes à cette réglementation.

    Aux termes de cette réglementation (articles 81 et 99-2 de l'instruction interministérielle), seul le nom de l'agglomération rédigé dans son orthographe officielle, éventuellement complété par le nom de la commune s'il est différent, peut figurer sur ces panneaux de limite d'agglomération. (...)

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  • Sainte-Marine souhaiterait-elle son indépendance ?

    Telle est la question que plusieurs personnes se sont posée suite au changement de panneaux intervenus il y a quelques jours. Désormais, figure à l'entrée de Sainte-Marine, en venant du carrefour avec la départementale Combrit - Bénodet, le panneau Sainte-Marine - Sant Voran, alors qu'auparavant figurait l'annonce Combrit - Sainte-Marine, Kombrid Sant Voran. Serait-ce à penser que le conseil municipal souhaiterait créer une nouvelle commune indépendante de Combrit ? La question est posée.

    Par contre, ce panneau n'a pas été changé lorsqu'on quitte l'agglomération venant de Sainte-Marine où l'on retrouve le panneau fin d'agglomération où figure toujours Combrit - Sainte-Marine, Kombrid Sant Voran. À moins que ce soit pour une prochaine étape ?

    in "Ouest France"

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