L'offre randonnée mise en place par l'Agence Ouest-Cornouaille développement (AOCD), « constitue un axe majeur de développement qu'elle soit à pied, en vélo ou en VTT », estime Bénédicte Vedel, chargée du projet. Ainsi, elle mériterait, « d'être mieux connue de l'ensemble des professionnels de tourisme du territoire qui pourraient mieux la valoriser », poursuit-elle. Pour y parvenir l'AOCD programme une réunion d'information, lundi 23 juin, de 18 h à 19 h 30, salle n° 2, maison Per-Jakez Helias, à Pouldreuzic. Information et inscriptions : en ligne www.pro-aocd.fr par téléphone 02 98 82 30 30 ou encore par mail, contact@ouest-cornouaille.com in "Ouest France"
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Je pense que le SIVOM de Combrit Île-tudy et ses conseillers sont les seul à croire en la fiabilité de la « digue » en arrière du cordon dunaire pour protéger le polder d’une inondation si la dune venait à être franchie lors d’un épisode de tempête. Je doute aujourd’hui que les financeurs soient près à payer pour ce genre de talus qui ne supportera pas l’impact des vagues vu la force dégagée à ce moment .
Cette levée de terre sera posée sur une couche d’alluvion instable et ne semble pas ancrée en profondeur. De ce fait une tempête la nivellera rapidement. Si la décision de cette construction est irrévocable que l’on construise alors une digue fiable à la mode « Hollandaise » d’un gabarit largement supérieur.
Le rechargement du cordon est devenu une habitude. Aucune étude n'a été publiée (ou alors marquée du sceau du secret donc comme d'habitude, elle est resté confidentielle) sur l’impact à l'Île-tudy de cette carrière où l’on extrait le sable pour le Treustel. Toute extraction de matériaux est régis par le régime des carrières. Celle-ci n’est elle pas « clandestine » : pas d’enquête publique…rien.
« A la défense obstinée contre l’érosion des vagues telle que les ingénieurs l’on menée pendant longtemps, tend à se substituer aujourd’hui un recul stratégique planifié qui teint compte des réalités naturelles.
Mais cette nouvelle politique qui préconise le better to move than to protect (mieux vaut se déplacer que protéger) ne saurait s’appliquer partout, difficilement en tout cas là où, d’énormes investissements sont en jeu » Rolland PASKOFF
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Plasenn ar veajourien, Accès derrière le parking de la mairie Combrit Sainte-Marine
Borne Raclet Stationnement autorisé pour la nuit
- Aire d'accueil
- Aire de services
- Dépôt des ordures ménagères
- Nombre d'emplacements : Environ une dizaine
- Tarifs : 2 € le jeton, disponible chez les commerçants.
- Tri sélectif
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L'Union nationale de l'apiculture française (UNAF) organise du 19 au 21 juin la cinquième édition des Apidays. Des rendez-vous sont programmés un peu partout en France. Dégustation de pains d'épices, fabrication de savon au miel, rencontres avec des apiculteurs : tout est bon pour rendre hommage aux butineuses, mais aussi pour alerter sur leur déclin. L'Institut national de la recherche agronomique (INRA) vient de publier un dossier destiné au grand public qui recense les trois grands responsables de l'effondrement des colonies de butineuses : prédateurs invasifs comme le frelon asiatique ; divers pathogènes, et l'agriculture intensive. Une analyse partagée par l'UNAF comme en témoigne Henri Clément, son porte-parole.
L'édition 2014 des Apidays s'inscrit dans l'année internationale de l'agriculture familiale lancée par l'ONU. Pourquoi avoir rejoint cette campagne ?
Henri Clément : Si nous voulons mettre en avant les exploitations familiales, c'est qu'il existe plusieurs apicultures dans le monde. En Asie et en Afrique, on continue de pratiquer la cueillette du miel dans la nature. J'ai rencontré des apiculteurs au Maroc qui gagnent l'équivalent d'un salaire de chauffeur de taxi en produisant 30 à 40 kilos de miel par an. Un apiculteur français s'occupe souvent de 200 à 600 ruches, tandis qu'un Américain en gère 10 000, voire 15 000. En France, les professionnels représentent la moitié de la récolte totale, les familles avec moins de dix ruches en fournissent un quart. Que l'activité se transmette en héritage de génération en génération ou pas, chacun son histoire, mais tous peuvent partager leur passion avec le public.
Vous avez décidé de vous rapprocher de l'Association française d'agroforesterie. Qu'attendez-vous de ce partenariat ?
L'agriculture intensive produit soit des vastes étendues rases, soit des champs pleins de pesticides. De son côté, l'agroforesterie dit qu'il n'est pas judicieux de retourner la terre, de la laisser nue. Les sols ont au contraire besoin d'un couvert végétal tout au long de l'année, d'arbres – assez espacés pour laisser passer les moissonneuses –, de haies. Cela permet de préserver l'humus, les insectes, de réguler l'excès d'eau, d'éviter les pesticides. C'est tout bénéfice pour les insectes pollinisateurs qui ont besoin d'une alimentation de qualité tout au long de l'année. Châtaigniers, merisiers, tilleuls sont très intéressants pour nos abeilles, car leur floraisons se succèdent. Nous allons monter un programme avec les promoteurs de l'agroforesterie. Il s'appellera « Plaidoyer pour l'arbre ».
Pourtant, il arrive aussi aux apiculteurs d'avoir à se plaindre des forêts exploitées...
C'est vrai. Certains d'entre nous rencontrent de grosses mortalités à cause d'agrumes d'épicéas qui sont aujourd'hui traités avec des insecticides néonicotinoïdes, dans le Limousin et la région Midi-Pyrénées, entre autres.
Trois insecticides néonicotinoïdes sont actuellement interdits dans l'Union européenne : cela ne suffit pas ?
Non. D'abord, ils ne le sont que sur certaines cultures, ils continuent d'être épandus sur d'autres et puis il reste d'autres pesticides de cette famille. Nous avons co-organisé un colloque sur une agriculture respectueuse des pollinisateurs au Sénat, le 5 juin. Et comme vous avez pu le remarquer, un sénateur écologiste et un député PS ont déposé, le 19 juin, une proposition de résolution pour l'interdiction en Europe des néonicotinoïdes. Le Parlement néerlandais a déjà voté une mesure similaire en septembre 2013. J'espère que ce texte, après le gouvernement français, ira jusqu'à la Commission européenne.
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Par jugement rendu ce jour, le tribunal administratif de Rennes a annulé l'arrêté préfectoral de juin 2011 autorisant le clapage des boues des ports de Loctudy et Lesconil.
Pour le comité départemental des pêches maritimes du Finistère et le comité régional des élevages marins de Bretagne, "ce jugement va même au-delà des conclusions du rapporteur public dans la mesure où, outre l'insuffisance de l'évaluation des incidences du clapage sur le site Natura 2 000 des roches de Penmarc'h, c'est le choix même du site qui est remis en cause".
Le conseil général n'abandonne pas
Du côté du conseil général du Finistère, qui avait la maîtrise d'ouvrage de l'opération, le vice-président à l'insertion et l'économie Mickaël Quernez a "pris acte de cette décision qui vient d'un seul juge et qui intervient après une décision contraire". L'élu a affirmé que le conseil général allait poursuivre le suivi des mesures de l'environnement. "Nous allons maintenant nous rapprocher de la préfecture pour la suite", a conclu Mickaël Querne
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Plan des travaux prévus par le SIVOM jusqu'en 2017... : est-ce la bonne solution ???